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À l’occasion du troisième anniversaire de leur annonce à propos de la possible existence d’une neuvième planète dans notre système solaire, les chercheurs Mike Brown et Konstantin Batygin, de l’Université Caltech, publient deux études analysant les preuves sous-tendant l’existence de cette planète mystérieuse.

Des lunes qui ont pris l’habitude de se détruire et de se re-créer. C’est le portrait tout en collisions qui semble se dessiner autour de Neptune, alors qu’on vient de lui (re)découvrir une 14e lune.

L’un des derniers gestes de la sonde Cassini, de la NASA, avant son plongeon mortel dans l’atmosphère d’hydrogène et d’hélium de Saturne, fut de naviguer entre la planète et ses anneaux et les laisser la transporter, agissant telle une sonde gravifique.

En observant un échantillon de jeunes étoiles dans une « pouponnière d’étoiles » dans la constellation du Taureau, des chercheurs ont découvert que bon nombre d’entre elles étaient entourées par ce qui serait des traces créées par de jeunes planètes en formation. 

L’espace, l’ultime frontière… Et surtout le lieu de nouvelles découvertes fascinantes. Dans la foulée de nouvelles informations concernant la composition de notre système solaire, le Planétarium Rio Tinto Alcan présente deux nouveaux spectacles: Planète 9, consacré justement à ces percées astronomiques, et Les secrets de la gravitation, qui s’attaque à forte partie avec la théorie de la relativité générale.

L’annonce cette semaine de la mise à la retraite du télescope spatial Kepler a marqué la fin d’une époque — une explosion de découvertes de planètes tournant autour d’étoiles autres que notre Soleil — mais surtout le début d’une autre: les successeurs de Kepler détermineront si oui ou non il y a de l’atmosphère autour de certaines de ces planètes, et peut-être même de la vie.

On pensait en avoir fini avec ’Oumuamua, ce mystérieux « objet interstellaire » qui est passé dans notre voisinage l’an dernier. D’abord catalogué comme astéroïde, il a été redéfini comme comète cet été. Mais à présent, on n’en est plus sûr.

Des ingénieurs du Jet Propulsion Laboratory de la NASA, à Pasadena, en Californie, ont demandé cette semaine au robot d’exploration martienne Curiosity d’activer son deuxième ordinateur. Ce changement permettra à des ingénieurs d’obtenir un diagnostic complet d’un problème technique qui empêche l’ordinateur habituel de stocker des données scientifiques et certaines informations techniques essentielles depuis le 15 septembre.