Télé-Québec donne dans le cours d’histoire nouveau genre avec cette websérie qui cherche à éduquer sur des périodes méconnues ou négligées de notre passé.
Browsing: racisme
La cinéaste Mohawk Tracey Deer revient sur la crise qui a marqué son adolescence dans son premier long-métrage.
L’auteur Dany Laferrière s’intéresse à l’omniprésent sujet du racisme envers les Noirs aux États-Unis.
Sous le pseudonyme Vernon Sullivan, Boris Vian a écrit quatre polars influencés par la littérature américaine, et après avoir été adapté pour le théâtre et le cinéma, son roman J’irai cracher sur vos tombes a maintenant droit à une version en bande dessinée.
Plus d’un mois après sa mort, le nom de Raphaël André résonne encore à Montréal: aurait-il été possible d’éviter le décès de ce citoyen des Premières Nations, mort de froid dans les rues de la métropole?
Il y a quelque chose de pourri, à Chicago. Dans l’ensemble des États-Unis, sans doute, mais en pleine période de troubles sociaux et raciaux, la Ville des vents est particulièrement ébranlée, et la communauté noire est plus que jamais visée par des actes violents, en plus d’être touchée par la misère. C’est dans ce contexte que le détective Smokey Dalton se fera justice lui-même.
La montée des mouvements populistes transforme les systèmes politiques un peu partout dans le monde. Alors que l’appui envers ces mouvements « anti-élites » s’intensifie, plusieurs chercheurs tentent de savoir si le déclin économique et le renforcement des conflits entre les divers groupes jouent un rôle dans ce phénomène.
La bande dessinée Black-out lève le voile sur les travers de l’industrie cinématographique américaine d’antan, en relatant l’incroyable parcours de l’acteur Maximus Wyld, la toute première star « de couleur » d’Hollywood.
Mélangeant fiction et réalité historique, la bande dessinée Black Squaw permet de découvrir Bessie Coleman, une femme hors du commun qui, dans l’Amérique des années 1920, a combattu le racisme et le sexisme afin de réaliser son rêve de devenir aviatrice.
Ces derniers mois, les projecteurs ont été braqués plus qu’à l’habitude sur les gestes de violence contre la communauté noire. Et une question a refait surface: si ces événements s’expliquent par la présence de stéréotypes inconscients dans la population, est-ce que l’étude de notre cerveau pourrait permettre de les mesurer, voire de les combattre?