Si on enlève l’aspect désagréable, que reste-t-il de Poings? De bons dialogues, en fait, surtout deux monologues, ou plutôt, un monologue et un monologue à deux voix, où la réalité et les réflexions s’entrecroisent pour donner un résultat percutant.
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« Ce n’est pas un film, mais nous allons puiser dans cet imaginaire-là pour créer quelque chose qui est très théâtral, au final. »
« C’est l’histoire d’une rupture amoureuse que je n’ai pas vécue, mais qui est analysée, comme si nous essayions de voir les émotions, de ce qui s’est passé entre deux personnes, le tout avec les yeux de la science. »
Entre une figure paternelle qui n’en a plus pour longtemps, et la mystérieuse personne qu’est son père biologique, Jodie est déchirée. Et la voilà qui rejoue les road trips de Kerouac pour tenter d’y voir plus clair.
Quels sont les piliers de la vie adulte, au juste? Acheter une maison? Se marier? Faire des enfants? Installer une piscine hors terre? Consommer, simplement?
Du grand théâtre. Voire même du théâtre qui dérange, ce qui est encore mieux.
Une planète bouleversée, une civilisation affaiblie par la maladie et les divisions, mais aussi une volonté de corriger le tir, d’améliorer les choses: voilà l’ambiance plus que particulière dans laquelle navigue la déclinaison 2020 de Territoires de paroles, en collaboration avec le théâtre Prospero.. Rencontre avec Carmen Jolin, directrice artistique de ce méta-événement théâtral.
Dans une chambre face à la mer, un homme reçoit une femme, toutes les nuits. Du moins, il aurait pu la recevoir. Le texte de Duras raconte ces rendez-vous hors du temps, comme on ravive un souvenir ou un fantasme. L’adaptation à deux voix de La maladie de la mort, par Martine Beaulne, met en scène cette rencontre possible, au théâtre Prospero.
Une piscine, des enfants qui apprennent à nager, deux maîtres-nageurs sympathiques et une directrice consciencieuse, des parents soucieux du bien-être de leur progéniture. Le cadre de la pièce de l’auteur catalan Josep Maria Miró, présentée au théâtre Prospero, est issu de la vie ordinaire.
À nouveau, cette année, la salle intime du théâtre Prospero accueille la classe de madame Catherine, cette enseignante fortement marquée par les nombreuses tueries dans les écoles américaines et canadiennes, et plus que motivée à prodiguer à ses petits élèves de 3e B une leçon bien particulière en matière de sécurité, question de les protéger contre le pire qui les guette. Leur survie en dépend.