On ressortira de Vice, vertu, désir, folie en se disant qu’on vient certainement de naviguer à travers un univers artistique exceptionnel, un aperçu de l’opulence et du faste de la société européenne, au cours de trois siècles de profondes transformations de l’Occident. Une exposition à voir. Impérativement.
Ancrée le passé, la chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours est aussi résolument tournée vers l’avenir, comme le démontrent l’audace et la diversité présentes dans cette nouvelle exposition. À voir.
Daaaaaalí! confirme donc que Quentin Dupieux est un cinéaste fascinant à la filmographie aussi riche que variée. Doté d’un style distinct, en s’interrogeant continuellement sur la notion de rêve et de réalité, il se permet quand même d’explorer en repoussant constamment les possibles et ses propres limites, et osant cette fois s’attaquer plus que jamais à l’insaisissable.
Exposition frondeuse, exposition nécessaire, cette rétrospective Marisol a cela de bon qu’elle rappelle que oui, les musées peuvent encore étonner, surprendre et aller jusqu’à nous couper le souffle. Et c’est tant mieux!
Plus que jamais près des citoyens, la Biosphère poursuit sa mission de rapprocher l’humain et la nature, en intégrant la culture et l’innovation sociale à ses enjeux, en digne représentante du complexe muséal d’Espace pour la vie.
Si le passé est au centre de l’exposition, le propos semble tourné vers l’avenir. Jacques Newashish confirme : « Ce qui m’a influencé fait ce que je suis. » Ce sont des étapes qu’il utilise aujourd’hui. « J’essaie d’entrevoir l’avenir, mais l’avenir n’est pas là », remarque-t-il.
« Je m’épuise jusqu’à arriver à un état d’abandon, où l’instinct prend la place sur le rationnel. Dans les oeuvres de Basquiat, il y a une charge émotionnelle, une frénésie que j’ai voulu recréer sur scène. »
Pour sa première exposition avec son père, l’artiste Alexis Vaillancourt veut faire sa place, tout en assurant une certaine continuité avec l’oeuvre de celui qui l’a précédé.
L’oeuvre de Dali en hommage à Dante prend son envol sur le Grand Quai du Port de Montréal.
Les fruits et légumes ont beaucoup changé depuis que nous avons commencé à les cultiver, il y a des milliers d’années. Ils sont devenus plus gros, ont un goût plus sucré, contiennent moins de pépins… Mais écrire cette histoire n’a jamais été une tâche facile. L’art pourrait-il y aider?
