Cette recherche s’inscrit dans une série qui, ces dernières années, a effectivement tenté de décoder ce qu’il y avait de si particulier dans les cerveaux de certains oiseaux —pas juste les corbeaux.
Navigation : neurones
Des « régions accélérées » de notre génome pourraient expliquer la taille de notre zone cérébrale
Des neurones artificiels qui peuvent réagir à la lumière presque aussi vite que les vrais. Au point où une main artificielle peut attraper la balle au bon moment.
Pour se déplacer dans notre environnement, il est nécessaire d’observer les alentours, particulièrement les obstacles qui limitent les mouvements: les murs, le plafond et autres barrières qui définissent la géométrie de l’espace navigable autour de soi. Des chercheurs viennent d’identifier la zone de notre cerveau qui est responsable de cette détection.
Pour fonctionner, avons-nous besoin d’un cerveau ? Nous, les humains, oui. Mais certaines créatures sans cerveau s’en tirent très bien.
Alors que des généticiens tentent de dresser la carte des gènes qui pourraient être associés à des problèmes psychiatriques, des neurologues sont en train de leur compliquer la tâche: ils émettent l’hypothèse que, même entre deux de nos neurones, il pourrait y avoir des différences génétiques.
Le mystère de l’aversion d’une partie de la population pour le fromage vient d’être percé à jour par une équipe de scientifiques français qui ont conclu à une réaction du système neuronal de la récompense entraînant une réaction de dégoût.