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La formation montréalaise Vanille se lance dans l’arène musicale avec un premier mini-album de cinq pistes intitulé My Grandfather Thinks I’m Going to Hell. Le trio formé de Rachel Leblanc, Vincent Huard-Tremblay et Victor Tremblay-Desrosiers débarque avec de la musique rock un peu sucrée qui s’écoute bien. Très bien, même.

Montréal, ce sont des institutions, un secteur culturel, une économie, des infrastructures, mais aussi une façon d’attraper ses habitants par les tripes. De nourrir leur âme, peut-être, sans oublier de remplir leur estomac. Dans le cadre de série d’événements Possibles, le chef Antonin Mousseau Rivard veut réinventer la façon de « manger montréalais ».

Pour conclure la série Violons et cordes du Festival Orford Musique, les organisateurs ont eu l’excellente idée de réunir sur scène deux figures montantes de la musique classique: Stéphane Tétreault, violoncelle et Paul Huang, violon. Cette rencontre nécessaire avait lieu le 5 août dernier à la salle Gilles-Lefebvre, sur le toujours invitant site du Parc Orford. On y présentait donc deux duos pour violon et violoncelle et un trio avec piano, pour lequel la pianiste Katherine Chi se joignait aux deux autres.

C’est vendredi soir, à la Chapelle Notre-Dame-de-Bonsecours, que la mouture 2017 de l’Orchestre de la Francophonie donnait son ultime concert. Dans un véritable four, chauffé à plus de 30 degrés, les jeunes musiciens ont eu l’occasion de montrer l’ampleur de leurs talents dans un programme concocté à la dernière minute et pour lequel ils n’ont eu que très peu de temps pour répéter.

Ce samedi, le Domaine Forget, dans le cadre de son festival international, recevait la visite attendue du violoniste canadien James Ehnes et de l’Orchestre de la Francophonie (OF), sous la direction de Simon Rivard.

Si personne ne veut imaginer le président américain en maillot, beaucoup aimeraient voir le président français lancer le frisbee à son homologue canadien sacré chef d’État le plus «sexy». L’ex-journaliste du Monde, Sylvain Cypel fait un parallèle entre le président Macron et la culture californienne dans le New York Review of Books du 5 juillet.

À la Maison symphonique de Montréal, le 5 juillet dernier, avait lieu une soirée plutôt spéciale. Il s’agit de la presque rencontre de deux mondes musicaux dans le cadre de deux festivals de musique concurrents : le Festival d’orgue de Montréal, associé au Festival international de jazz de Montréal. Le seul véritable objet commun entre les deux spectacles présentés ce soir-là? Le grand orgue Pierre-Béique, cette merveille issue du génie de Casavant Frères.

Dans la salle principale de l’Usine C, point de décors, mais plutôt des exosquelettes métalliques qui pendent du plafond. Ces exosquelettes, la dizaine de journalistes invités les regardent avec une méfiance mêlée de curiosité. Les photos et la vidéo fournie avec l’invitation à l’événement Inferno – « We are the Robots » étaient intéressantes, mais de là à laisser le contrôle d’une partie de son corps à un ordinateur, il y a un pas.

Alors que se poursuivent les célébrations du 375e anniversaire de Montréal, le Musée des Beaux-Arts vise à ramener la métropole à l’époque des grands chambardements sociaux, politiques et culturels de la fin des années 1960 avec Révolution, une exposition présentée jusqu’en octobre. N’oubliez pas votre petit livre rouge et votre fleur au canon!