À 50 ans, donc, Microsoft possède une influence financière et technologique indéniable. Mais pour la conserver, il faudra continuer d’innover. Avec les dérives potentielles que cela peut supposer, notamment en intelligence artificielle.
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L’étude souligne aussi, par la bande, une faiblesse des notes de la communauté: comme elles reposent sur le bénévolat d’usagers, et des usagers qui, de surcroît, sont anonymes, il est impossible de mesurer la rigueur ou l’expertise de ceux-ci.
Une vie intelligente fait feu de tout bois. Et si l’on ne doute aucunement de la bonne volonté de ses créateurs et de ses interprètes, on ne peut que se demander ce qui s’est passé lorsqu’est venu le temps d’en écrire le texte.
Eric-Pierre Champagne doit chercher à assurer l’avenir des médias d’ici, au moment où les géants du web, comme Meta, s’accaparent non seulement les revenus en ligne, mais acceptent aussi des publicités mensongères.
Le temps des Fêtes qui est à nos portes sera sans doute propice à la construction de mondes virtuels, un casque enfoncé sur la tête. Il ne s’agit pas encore de plonger carrément dans cet univers numérique, comme dans le classique de science-fiction TRON, mais cette réalité semble se rapprocher toujours un peu plus.
L’humain serait donc bien avisé, préviennent les chercheurs espagnols, de ne pas accorder sa confiance aux réponses de l’IA, aussi impressionnantes soient-elles. Dans l’immédiat, l’IA semble vouée à continuer de pondre des faussetés, et les experts n’ont pas de solution en vue.
« Ce qui rend CICERO si bon à Diplomacy, c’est que l’IA a enregistré un grand nombre de parties, et sait donc comment jouer. L’ordinateur peine à être vraiment convainquant ou vraiment retors, et ne réagit pas vraiment à ce que disent les autres joueurs. »
Colette Brin, directrice du Centre d’étude sur les médias de l’Université Laval, explore les conclusions d’un coup de sonde révélant que les Québécois ont peu changé leurs habitudes de consommation de nouvelles sur le web.
Près de la moitié des répondants (48 %) sont d’avis que Facebook et Instagram devraient compenser les médias, contre 24 % qui sont d’avis contraire.
Lorsque les chercheurs ont trafiqué le fil de publications de certains utilisateurs pendant une période de 3 mois afin de diversifier les contenus auxquels ils étaient exposés, aucun effet sur le degré de polarisation ou d’extrémisme idéologique n’a été observé.