Quel est l’impact des vérificateurs de faits qui travaillent en partenariat avec Facebook depuis 2016, si on le compare avec l’impact des fausses nouvelles? Une analyse des cinq vérifications les plus populaires de la semaine, révèle un impact qui, dans certains cas, est étonnamment plus fort que ce qu’on imagine généralement… mais qu’il y a encore du chemin à faire.
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Voilà plusieurs années que la Chine peine à s’attaquer à la forte pollution dans laquelle sont engluées ses grandes villes. Une récente étude de l’Université chinoise de Hong Kong a ainsi révélé que la pollution de l’air entraînait 1,1 million de morts prématurées par année, en plus de coûter 38 milliards à son économie.
La prise de mauvaises décisions est un trait de caractère souvent associé aux gens souffrant de dépendance à la drogue et aux joueurs pathologiques, mais qu’en est-il des gens qui utilisent les médias sociaux de façon compulsive?
Un système s’appuyant sur un algorithme qui identifie des indices linguistiques dans les fausses nouvelles pourrait servir de nouvelles armes dans la lutte contre la désinformation.
Quelle est la principale raison pour laquelle nous croyons à des fausses nouvelles? En gros, parce qu’on est paresseux.
Si les fausses nouvelles voyagent plus vite que les vraies, comme l’a (à nouveau) souligné la semaine dernière une étude qui a fait beaucoup parler d’elle, c’est parce que « la polarisation est un excellent modèle d’affaires ».
Depuis l’invention du télégramme, l’adoption de nouvelles technologiques, telles la télévision, les téléphones intelligents et les médias sociaux, a souvent mené à des craintes d’un déclin des interactions en personne et d’une possible baisse du bonheur. Des chercheurs des Universités du Missouri et du Kansas ont découvert que l’utilisation des médias sociaux n’avaient pas d’impact négatif significatif sur les interactions sociales, ou sur le bien-être.
Les mythes entourant l’alimentation ne manquent pas! Les déboulonner fait partie du mandat que s’est donné Bernard Lavallée, alias le Nutritionniste urbain.
La nouvelle sur des Néandertaliens qui auraient vécu en Californie il y a 130 000 ans en a fait sourciller plusieurs cette semaine. La majorité des experts interviewés par des journalistes ont jugé l’annonce des chercheurs exagérée.
Depuis que Facebook a mis à pied, le 26 août dernier, les personnes chargées de faire le tri dans les fils de nouvelles, le réseau social monte en épingle — encore plus qu’avant — les légendes urbaines et les fausses informations.