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Le cannabis et ses composés peuvent être bénéfiques pour soulager certains symptômes comme les nausées, les vomissements, la douleur chronique et les contractions musculaires involontaires. Ces bienfaits sont toutefois accompagnés de plusieurs effets secondaires. Pour les autres bienfaits supposés du cannabis, davantage de recherche sera nécessaire, parce que beaucoup de facteurs viennent compliquer l’analyse des résultats.

En analysant les gènes des participants à cette étude, les chercheurs ont noté que chez ceux qui n’avaient pas développé de symptômes, l’activité du gène HLA-DQA2 était plus élevée que chez ceux qui avaient été malades.

Chez les souris, l’approche a permis de stopper la croissance et la propagation d’une tumeur, révèle l’étude publiée en juin dans le journal Science Advances. Le taux de survie des souris traitées avec les microrobots était également plus élevé que celui des souris ayant reçu le traitement conventionnel (37 jours contre 27). 

Certes, entre un virus et une tumeur, il y a une marge, mais il y a plusieurs années déjà que la médecine génétique, consciente du fait que derrière une tumeur, il y a des mutations, s’est avisée que si on pouvait apprendre à notre système immunitaire à reconnaître ces mutations, on aurait fait un grand pas en avant.

On s’entend sur le fait que les astronautes semblent plus susceptibles de développer à long terme des problèmes cardiaques, mais à l’inverse, chez plusieurs, les problèmes identifiés lors des prises de sang pendant le séjour dans l’espace, semblent s’être résorbés dans les mois qui ont suivi leur retour sur Terre. 

Aussi incertains que soient les résultats, ces quatre transplantations ont reçu l’autorisation de l’agence américaine chargée d’approuver les traitements médicaux, en vertu de ce qu’on appelle « l’accès compassionnel » — une autorisation d’urgence accordée à titre exceptionnel lorsque la vie d’une personne est à risque et qu’aucun autre traitement n’est disponible.

D’une part, les gens qui utilisent fréquemment les réseaux sociaux pour chercher de l’information en santé sont les plus susceptibles de croire à de fausses informations; mais d’autre part, très peu de gens disent avoir confiance dans l’information en santé qui leur est donnée sur les réseaux sociaux.