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Samedi soir dernier, l’orchestre symphonique de Montréal présentait un programme intitulé Alain Lefèvre et le concerto de Tchaïkovski. Le chef invité était Nicolaj Szeps-Znaider, aussi célèbre pour ses prestations à la barre des grands orchestres que pour ses enregistrements, à titre de soliste, de nombreux concertos pour violon.

Au diable ces flocons pugnaces et cette pluie froide, place aux vertes forêts du centre du Vieux Continent, la semaine dernière, dans le cadre d’un concert rassemblant Schubert, Schumann et Dvorak.

Verrouillez vos portes et vos fenêtres, le seigneur des vampires erre dans les environs! La Maison symphonique accueillait plus tôt cette semaine une nouvelle édition de ses projections cinématographiques accompagnées en musique avec la présentation de Nosaferatu le vampire, chef-d’oeuvre d’horreur de 1922. 

L’heure était à l’émerveillement et à la lutte contre les éléments, mercredi soir à la Maison symphonique, alors qu’était donnée la Symphonie alpestre de Richard Strauss, dans le cadre d’un concert dédié au romantisme et à l’idéalisme de la fin du 19e siècle.

Dans le cadre de ses démarches pour rajeunir et diversifier le public assistant à ses concerts, l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM) présentait mardi soir une projection du film E.T., l’extraterrestre. Pour l’occasion, la cheffe Dina Gilbert était aux commandes des musiciens pour donner vie à la fantastique trame sonore concoctée par le non moins excellent John Williams.

Immensité des paysages nordiques: voilà le titre que la direction artistique de l’Orchestre symphonique de Montréal avait choisi de donner au concert du 25 avril dernier, à la Maison symphonique. En fait, trois des quatre compositeurs au programme peuvent être qualifiés de nordiques. Il s’agit de Jon Leifs, islandais, Uuno Klami et Jean Sibelius, tous deux finlandais. Le quatrième mousquetaire, pas nordique pour deux sous, Piotr Ilitch Tchaïkovski.

Ce dimanche après-midi, à la Maison symphonique, la scène était encombrée: il y avait dessus un piano et Maurizio Pollini. En fait, on pourrait dire que la salle au complet était remplie de M. Pollini et de son interprétation. Mais revenons un peu en arrière et énumérons le programme de ce récital organisé par l’Orchestre symphonique de Montréal.

L’orchestre Mariinsky arrivait tout droit de Saint-Pétersbourg samedi soir dernier à la Maison symphonique, et ce serait un euphémisme que d’affirmer que le public montréalais les attendait de pied ferme. À l’occasion de ce concert hors-série, l’OSM prenait une pause afin de céder les planches à cet orchestre mythique de l’histoire de la musique moderne.

La formation montréalaise Half Moon Run se produisait mardi à la Maison symphonique pour un concert à guichet – très – fermé dans le cadre des séries OSM Pop. Cette série de concerts reprend le répertoire d’artistes influents du monde de la pop et marie leur répertoire avec une réinterprétation classique de l’orchestre symphonique.