Environ le tiers des Américains croient que la liberté de presse est totale, aux États-Unis; près de la moitié (46%) estiment que cette liberté est presque totale, alors qu’environ une personne sur cinq (21%) jugent que la presse est très peu, voire pas du tout libre.
En Europe et au Canada, des universités ont déjà saisi l’opportunité et ont débloqué des budgets pour recruter ou attirer de tels chercheurs.
Les coupes de l’administration Trump en aide internationale pourraient notamment entraîner une hausse de 18 millions de cas de malaria par an, ce qui tuerait plus de 160 000 personnes.
« Les journaux médicaux ne devraient pas s’attendre à être épargnés par les attaques » en cours contre la science depuis trois mois.
Ces dernières semaines, RFK a tout à la fois promis que son département de la Santé explorerait le rôle de « certaines substances » et de l’obésité parentale, et en même temps qu’il découvrirait « la cause » de l’autisme d’ici septembre, présumant ainsi qu’il n’y en aurait qu’une — une affirmation rejetée par des décennies de recherches.
Les tenants de l’interdiction sont 54% à croire que l’ampleur des fausses informations qui circulent sur la plateforme justifie son bannissement.
Selon deux nouveaux coups de sonde, les consommateurs, mais aussi les entreprises d’ici, voient l’avenir de façon particulièrement pessimiste.
Parmi les 6000 employés du département licenciés par l’administration Trump, on trouve des spécialistes travaillant à empêcher l’apparition d’espèces invasives.
La collaboration scientifique avec le voisin américain reste pourtant prioritaire pour de nombreux chercheurs et à ce titre, le Québec aurait peut-être un avantage face aux autres provinces canadiennes.
« Il est difficile de mettre des mots sur l’étendue des dommages qui sont faits à l’entreprise de recherche des États-Unis, dont la valeur pour la nation elle-même et pour le reste du monde, est incalculable. »
