« Cela ne remplace pas les humains, mais vient plutôt nous aider à mieux étudier les gens. C’est une question d’augmenter nos capacités, plutôt que de les remplacer. »
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« L’affirmation, ici, n’est pas que le gouvernement se présente comme n’ayant aucune responsabilité, mais qu’il y a une tentative linguistique visant à réduire l’imputabilité étatique. »
Depuis quelques décennies, le langage des émotions a-t-il occupé l’espace de la réflexion?
La science veut s’ouvrir aux très nombreuses langues africaines.
Les jeunes qui sont sourds ou malentendants ont davantage de difficultés à lire que la moyenne. Il est ainsi estimé qu’environ 70% d’entre eux seront seulement semi-lettrés à l’âge adulte. Selon Helen Blom, chercheuse du comportement qui s’est intéressée à la capacité des gens sourds ou malentendants, les hyperliens représentent un obstacle de plus à la capacité de lire des textes en ligne.
Un duo de chercheurs, l’un de l’Université de Rochester, l’autre de l’Université de Californie, a découvert que combiner toutes les données nécessaires pour stocker et utiliser la langue anglaise dans le cerveau nécessitait environ 1,5 mégaoctet de stockage, soit l’équivalent d’une disquette.
S’il est exact que les langages humains obéissent à une série de lois mathématiques, alors le langage des signes et des sons qu’utilisent les chimpanzés semble avoir de curieuses similarités.
Imaginez-vous en plein cœur d’un quartier inconnu. Votre cellulaire est à plat, votre voiture est en panne, et vous cherchez désespérément le garage le plus près. Des passants tentent de vous venir en aide, mais leurs indications sont contradictoires. L’un deux semble venir du coin et parle d’un ton nonchalant, tandis que l’autre, visiblement sûr de lui, parle haut et fort, mais a un accent à couper au couteau. Auquel des deux ferez-vous confiance?
Vous avez peut-être lu, au début du mois, des articles sur l’apprentissage de « dialectes » par des chauves-souris. Celles-ci apprendraient à communiquer « à la manière des humains », selon l’un des articles du Jerusalem Online. Des nuances sont de mise.
À la suite de l’éclatement de la Yougoslavie dans les années 1990, on parle le bosnien à Sarajevo, le croate à Zagreb, le serbe à Belgrade et le monténégrin à Podgorica. Une Déclaration sur la langue commune a été présentée le 30 mars à Sarajevo par des intellectuels pour en finir avec les querelles linguistiques, rapporte le Monde diplomatique de juillet.