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Il se sera battu jusqu’au bout, mais la deuxième fois n’aura pas été la bonne: le sénateur « socialiste » du Vermont, Bernie Sanders, a annoncé mercredi qu’il abandonnait la course à l’investiture démocrate en vue de l’élection présidentielle américaine de novembre. C’est donc l’ex-vice-président Joe Biden, qui dispose d’une forte avance dans la course aux délégués, qui affrontera le président Donald Trump cet automne.

C’est une course à deux entre deux septuagénaires: après une défaite cinglante lors des premières étapes des primaires démocrates et un rebond convaincant en Caroline du Sud, où il a largement dominé ses adversaires, l’ex-président américain Joe Biden est ressorti vainqueur du « super mardi », en prenant la tête dans la course aux délégués en vue de l’investiture pour affronter Donald Trump. Son adversaire, Bernie Sanders, est toutefois loin d’être battu. Quant aux autres concurrents, ils n’ont plus aucune chance de l’emporter.

La victoire est indéniable: le sénateur du Vermont, Bernie Sanders, a aisément remporté les caucus du Nevada, samedi, confirmant sa lancée entamée pratiquement depuis les débuts du processus électoral en vue de l’investiture démocrate. Ses adversaires – et surtout Joe Biden –, n’ont toutefois certainement pas dit leur dernier mot, et les attaques pourraient maintenant viser le politicien « socialiste ».

Devant la bonne marche de l’économie au pays de l’Oncle Sam, la protection de l’environnement devient soudainement un sujet prioritaire, révèle une nouvelle enquête réalisée par le Pew Research Center. Pour la première fois, approximativement autant d’Américains jugent que la défense de l’environnement est aussi importante que le renforcement de l’économie nationale.

Les jeux sont-ils faits pour Joe Biden? L’ex-vice-président a de nouveau mordu la poussière, mardi soir, dans le cadre des primaires du New Hampshire, après de premiers résultats décevants lors des caucus de l’Iowa. L’un de ses principaux adversaires, Bernie Sanders, a lui terminé en tête dans le « Granite State ». « C’est le début de la fin pour Donald Trump », a clamé le sénateur socialiste du Vermont.

Vivement critiquée par le président américain Donald Trump depuis l’arrivée de ce dernier au pouvoir, en 2016, l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord (OTAN) continue malgré tout de jouir d’une bonne réputation chez les populations des États membres de cette alliance militaire. Cet appui est particulièrement marqué, entre autres, dans les anciens pays du Pacte de Varsovie, l’ancien ennemi soviétique du temps de la guerre froide.

À quelques heures du lancement des premières étapes des primaires démocrates pour désigner un candidat en vue de la présidentielle de novembre – des premières étapes sous la forme des caucus de l’Iowa, les électeurs démocrates se disent particulièrement enthousiastes à propos du processus électoral. Selon un coup de sonde du Pew Research Center, toutefois, ils sont encore loin de s’entendre sur l’identité de la personne qui affrontera Donald Trump.

Alors que les rumeurs de guerre entre les États-Unis et l’Iran se sont légèrement tues, presque deux semaines après l’assassinat, par Washington, du général iranien Qassem Soleimani lors d’une frappe à Bagdad, et que doit s’entamer le procès de destitution du président Donald Trump au Sénat, les Américains demeurent majoritairement opposé à la façon d’agir de la Maison-Blanche au Moyen-Orient, indique une enquête du Pew Research Center.

À un peu plus de deux semaines du premier test électoral pour les candidats à l’investiture démocrate pour la présidentielle de novembre prochain, tout peut encore arriver, mais il faudra que les candidats qui traînent de la patte derrière les deux favoris, l’ex-vice-président Joe Biden et le sénateur du Vermont Bernie Sanders, mettent les bouchées doubles, révèle une nouvelle analyse de The Economist.

Une décennie après le séisme qui a profondément ravagé Haïti, les Nations unies ont souligné dimanche les très nombreux disparus et déplacés, y compris ceux qui sont toujours affectés aujourd’hui. Du même souffle, toutefois, l’ONU constate que la situation politique ne s’est gère améliorée dans la Perle des Antilles.