Chez l’Oncle Sam, ce sont à peine le tiers des participants (34%) qui ont une bonne opinion des réseaux sociaux. Vient ensuite la France, les Pays-Bas, l’Australie, la Belgique, le Canada et le Royaume-Uni, où l’on s’approche davantage de l’équilibre entre partisans et détracteurs de ces moyens de communication et d’échange dans un contexte politique.
Browsing: instagram
Que l’écosystème de la désinformation en santé soit lucratif en ligne, en partie grâce à la « monétisation » des contenus que permettent les grandes plateformes, n’est évidemment pas une découverte.
La question des revenus publicitaires, qui est déjà au coeur des tensions entre les différentes plateformes et les médias qui y diffusent des contenus, n’est toutefois pas nécessairement plus claire sur ce service, à l’instar de Facebook, Instagram, Twitter et consorts.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
Colette Brin, directrice du Centre d’étude sur les médias de l’Université Laval, explore les conclusions d’un coup de sonde révélant que les Québécois ont peu changé leurs habitudes de consommation de nouvelles sur le web.
Près de la moitié des répondants (48 %) sont d’avis que Facebook et Instagram devraient compenser les médias, contre 24 % qui sont d’avis contraire.
« Les conclusions de notre étude soulignent l’impact négatif de l’exposition à des images sexualisées, ce qui est une part croissante des réseaux sociaux, de nos jours, et qui entraîne une multiplication des comparaisons sociales à ce genre d’images. »
Il s’agit majoritairement de femmes qui ont remplacé les croyances traditionnelles avec leur propre évangile via Instagram et d’autres plateformes. Elles contactent d’autres femmes pour leur indiquer comment « être la meilleure version d’elles-mêmes », même si le média et le message viennent flouter la séparation entre le religieux et le séculier.
Une étude, parue le 16 janvier dans Health Communication, rappelle que ces influenceuses sont particulièrement populaires auprès des adolescentes et jeunes adultes en quête d’informations sur leur sexualité.
Des compagnies ont d’ores et déjà été plus ouvertes que d’autres, notent les chercheurs, en désignant Twitter et Reddit.