Si l’ensemble est grevé par quelques inévitables longueurs, 2024 revue et corrigée démontre encore une fois non seulement le vaste talent de ses interprètes, mais aussi la capacité de transformer 365 jours de défis, reculs et moments de doute en une célébration de la résilience. Le tout dans le contexte d’arts vivants toujours plus mis à mal. À voir.
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Oui, la formule est un peu connue, après tant d’années, mais Skinny prouve malgré tout que Jim Gaffigan a encore quelque chose à dire. Et, de façon encore plus importante, il a toujours la capacité de nous faire rire en le faisant. À voir, donc, sur Disney+.
Je ne me laisserai plus faire pourrait, de prime abord, avoir des airs de film mineur. Sauf que face à tout le talent réuni, il est un peu du calibre des téléfilms de HBO, par exemple, qui rivalisent souvent avec plusieurs des grosses productions qui n’ont pas été réservées au petit écran. Avec un sujet chaud et des interprètes aussi dévoués que son créateur, impossible de s’ennuyer avec ce film fou regroupant des humains tout aussi déjantés.
Dans cet épisode du podcast, nos vaillants coanimateurs assistent à un télescopage entre un repas familial juif traditionnel et une saga de science-fiction mêlant vaisseaux intergalactiques et village du nord de la France.
De Merci pour tout à 23 décembre (dans les exemples plus récents), Le Cyclone de Noël continue de démontrer qu’on n’a toujours pas percé le mystère de ce genre cinématographique très précis qui rapporte pourtant habituellement gros de l’autre côté de la frontière. Comme quoi on ne risque pas, nous non plus, de changer nos habitudes face à cet univers et on préférera attendre que le tout arrive dans le confort de notre salon pour s’y attarder.
Nous voilà donc avec la formule Only Murders in the Building: de vieilles légendes de l’humour, une ex-princesse Disney qui surprend par son aise et par la qualité de son jeu, une série de participations spéciales de la part de nombreuses vedettes, et suffisamment d’intrigues pour nous garder accrochés jusqu’à la fin de chaque 10e épisode… La quatrième saison est juste assez audacieuse et différente des autres pour éviter que l’on ne s’ennuie. On a plutôt constamment envie de retrouver nos « amis » dans leurs aventures. Que dire de plus, dans ce cas?
Pièce très vivante, pièce très physique, pièce drôle, pièce triste, pièce qui fait réfléchir… Cette colline n’est jamais vraiment silencieuse est un gros morceau théâtral, le genre d’oeuvre qui sort du cadre et qui surprend. Quelque chose dont nous avons bien besoin, en ce moment.
Saturday Night est un projet qui va au-delà du simple biopic, ce qui est tout à son honneur, mais qui ne va pas non plus au bout de ses possibilités. Comme quoi, pour célébrer les 50 années de quelque chose d’aussi marquant dans le paysage de la télévision, surtout considérant toutes les archives qui doivent être à portée de main, un documentaire aurait peut-être été plus approprié.
Pour les enfants, ce Lego Star Wars: Rebuild the Galaxy devrait suffire comme objet de divertissement. Mais pour les adultes, au-delà de l’idée de se reposer les méninges pendant environ 90 minutes, on se demandera s’il ne faudrait pas plutôt renouer avec l’excellent premier film d’animation de Lego, justement, même si l’on est un amateur fini de sabres laser et de bruits dans l’espace.
Hugo Prévost et Kevin Laforest s’aventurent du côté du plus récent film d’André Forcier, un portrait original d’un Faubourg à m’lasse aujourd’hui disparu.