Aucune étude scientifique n’a annoncé la disparition de l’espèce humaine à cause du réchauffement climatique. Mais en plus des coûts financiers entraînés par la perte de biodiversité, les feux de forêt ou les événements météorologiques extrêmes, il y aura inévitablement des pertes de vie.
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« L’analyse est claire : le troisième lien ne passe pas le test de la transition écologique. »
Le fait que la technologie remonte aux années 1970 est aussi un mauvais signal : après tout ce temps passé à la décrire comme une solution dans la lutte aux changements climatiques, elle devrait récolter de meilleures notes.
Dans l’état actuel des choses, « la crédibilité de l’Europe est exceptionnellement élevée », en dépit du fait que sa cible de 55% est déjà plus élevée que celle de la plupart des pays du reste du monde industrialisé.
Il faut aussi se rappeler que certains de ces systèmes sont intereliés. Cela signifie que le fait de dépasser un seuil critique chez l’un accélère le dépassement d’un seuil critique chez l’autre.
Le gouvernement allemand a déjà annoncé qu’il n’étendra pas l’offre, qui lui aurait coûté environ 2 milliards et demi d’euros.
La dangereuse pollution au méthane liée à nos déchets découle du pourrissement de nos déchets organiques : que ce soit de la nourriture, du bois ou même du papier, leur décomposition se traduit par des émissions de ce gaz.
Il faudrait attendre les années 1930 avant que l’ingénieur britannique Guy Callendar, analysant les données météorologiques des dernières décennies à travers le monde, ne devienne le premier à identifier une tendance généralisée à la hausse des températures.
C’est sans compter la dizaine d’autres indicateurs (glaciers, événements extrêmes, inondations, canicules, etc.) qui, sans avoir battu un record, sont largement dans la moyenne supérieure des dernières décennies ou du dernier siècle et demi.
Il faut d’abord rappeler que la capacité à distinguer le CO2 produit par l’humain de celui produit par la nature existe depuis longtemps.