Un groupe de 18 pays, incluant des États insulaires mais aussi la France et l’Allemagne, a publié un appel à « une sortie urgente des énergies fossiles ». « Nous devons atteindre le pic d’émissions de gaz à effet de serre d’ici à 2025 au plus tard », disent-ils.
Browsing: ges
« La croissance de la population, le développement de la production alimentaire et une expansion des régimes alimentaires basées sur la viande devraient favoriser les émissions polluantes et taxer d’autant le budget carbone mondial. »
On prédit un déclin de 42 % du courant sous-marin (le « courant marin de profondeur ») de la région d’ici 2050 — contre 19 % dans l’Atlantique Nord.
« Si nous maintenons les tendances actuelles en matière de décarbonisation, et le même rythme en ce qui concerne l’amélioration de l’efficacité du matériel informatique, il semble que cela ne sera pas suffisant pour restreindre les émissions polluantes des ordinateurs embarqués à bord des voitures autonomes. »
2023 ne manquera pas d’offrir son lot d’événements météorologiques inquiétants, tandis que les gouvernements démontreront s’ils respectent — ou non — les engagements pris au terme des conférences sur le climat et sur la biodiversité de 2022.
Il est trop tôt pour dire si la Chine atteindra ses objectifs de réduction des GES, mais en attendant, elle investit dans sa transition énergétique à un niveau que lui envieraient bien des pays.
En théorie, si tous les pays réalisaient toutes leurs ambitions climatiques et atteignaient tous leurs objectifs de carboneutralité dans quelques décennies, le réchauffement à la fin du siècle serait de 1,8 degré.
Afin de respecter l’objectif de réchauffement de 1,5 degré Celsius, tel que défini à Paris, il faut réduire les émissions polluantes de 45 % d’ici 2030. Comment faire? Les spécialistes onusiens évoquent la nécessité d’une transformation à grande échelle, rapide et systémique.
Les chercheurs ont également examiné les coûts de la pollution atmosphérique liée aux incendies; en fonction de divers critères, les dégâts provoqués uniquement par les GES, en Californie, atteignent environ 100 millions de dollars. Pour l’ensemble des États-Unis, on parle plutôt d’un moins moins d’un milliard. Et à l’échelle planétaire, c’est environ 7 milliards.
« Même une industrie aussi puissante que le pétrole ou le gaz va devoir, à un moment donné, se tourner vers les réassureurs. Si juste une poignée de compagnies font ce virage, ça fait une grosse différence. »