L’objectif de cette recherche n’est pas de produire des humains sans mères: c’est plutôt de comprendre ces mécanismes, souvent décrits comme une « bataille des sexes », qui se produisent au moment de la fécondation.
Browsing: gènes
Le tigre de Tasmanie n’était pas un tigre, comme son nom le laisse croire, mais un marsupial carnivore de la taille d’un loup. Accusé de tuer les moutons, il avait été chassé en masse par les colons européens installés sur l’île de Tasmanie, au large de l’Australie, au 19e siècle. L’espèce avait aussi vécu en Australie, jusqu’à il y a environ 3000 ans.
Ces débats font parfois oublier que les modifications génétiques font partie intégrante des méthodes traditionnelles de sélection végétale employés par les agriculteurs.
C’est depuis le début des années 2000 que l’on connaît ce facteur de transcription IRF1 et son mécanisme de régulation au sein du système immunitaire.
« Malgré cet avantage apparent sur le plan de l’évolution, la plupart des oiseaux ont tendance à demeurer en groupe et à élever leurs enfants de cette façon, puisque cela offre de meilleures chances de survie à ces descendants. »
Des chercheurs ont réanimé des spécimens d’un champignon qui provoque le flétrissement du caféier pour découvrir comment la maladie a évolué, et comment la contamination peut être évitée.
Une collaboration à l’échelle internationale entre chercheurs, dont des scientifiques de l’Université d’Adélaïde, en Australie, et de l’Université de la Saskatchewan, a permis de découvrir de nouvelles variations génétiques dans les génomes du blé et de l’orge. Cette percée représente une avancée importante pour la mise au point de variétés plus productives de ces deux plantes très largement utilisées par l’industrie agricole mondiale.
Une séquence génétique héritée des hommes de Néandertal pourrait augmenter les risques de réactions graves à la COVID-19, selon une nouvelle étude.
Le virus de l’immunodéficience simiesque (VIS), le virus infectant les singes et les grands singes à partir duquel est originaire le VIH, pourrait avoir influencé la génétique des chimpanzés, selon une nouvelle étude menée par l’University College de Londres.
Des scientifiques ont produit plusieurs centaines d’études pendant 23 ans à partir d’un principe faux: l’idée selon laquelle un petit nombre de gènes influencerait l’état dépressif. Une étude publiée en mars dernier en fait la démonstration, rapportait récemment un article de The Atlantic.