En théorie, si tous les pays réalisaient toutes leurs ambitions climatiques et atteignaient tous leurs objectifs de carboneutralité dans quelques décennies, le réchauffement à la fin du siècle serait de 1,8 degré.
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Afin de respecter l’objectif de réchauffement de 1,5 degré Celsius, tel que défini à Paris, il faut réduire les émissions polluantes de 45 % d’ici 2030. Comment faire? Les spécialistes onusiens évoquent la nécessité d’une transformation à grande échelle, rapide et systémique.
Les chercheurs ont également examiné les coûts de la pollution atmosphérique liée aux incendies; en fonction de divers critères, les dégâts provoqués uniquement par les GES, en Californie, atteignent environ 100 millions de dollars. Pour l’ensemble des États-Unis, on parle plutôt d’un moins moins d’un milliard. Et à l’échelle planétaire, c’est environ 7 milliards.
Sur les 200 millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES) calculées par l’équipe de Cambridge, 92 % ont été émises dans les quatre dernières années.
Aucune étude scientifique n’a annoncé la disparition de l’espèce humaine à cause du réchauffement climatique. Mais en plus des coûts financiers entraînés par la perte de biodiversité, les feux de forêt ou les événements météorologiques extrêmes, il y aura inévitablement des pertes de vie.
« L’analyse est claire : le troisième lien ne passe pas le test de la transition écologique. »
Le fait que la technologie remonte aux années 1970 est aussi un mauvais signal : après tout ce temps passé à la décrire comme une solution dans la lutte aux changements climatiques, elle devrait récolter de meilleures notes.
Il faut aussi se rappeler que certains de ces systèmes sont intereliés. Cela signifie que le fait de dépasser un seuil critique chez l’un accélère le dépassement d’un seuil critique chez l’autre.
La dangereuse pollution au méthane liée à nos déchets découle du pourrissement de nos déchets organiques : que ce soit de la nourriture, du bois ou même du papier, leur décomposition se traduit par des émissions de ce gaz.
La Banque centrale de Norvège figure aussi dans la liste (8e place) à travers son Fonds souverain. Le gouvernement russe arrivait, en février 2021, en 13e place, au milieu de plusieurs autres banques et firmes d’investissement américaines.