Une étude, parue le 16 janvier dans Health Communication, rappelle que ces influenceuses sont particulièrement populaires auprès des adolescentes et jeunes adultes en quête d’informations sur leur sexualité.
Browsing: fausses informations
« Les compagnies technologiques ont failli parce que leur modèle d’affaires a besoin de garder les usagers sur leurs plateformes, à faire défiler du contenu entremêlé de publicités, peu importe l’impact qu’ont ces contenus sur la société. »
En 2019, une analyse appelée le Global Disinformation Index avait estimé à 250 millions par année les revenus des sites de désinformation, dont 40 % provenant de Google. NewsGuard estimait en 2021 ces revenus à 2,6 milliards, mais n’évaluait pas la part provenant de Google.
On peut s’étonner que le rédacteur en chef d’une revue vouée à « la théorie et la pratique des vaccins » soit un docteur en linguistique et que son principal adjoint (senior editor) soit un ophtalmologiste.
Les chercheurs affirment que le simple fait de faire disparaître les groupes les plus extrêmes ne réglera pas le problème de la désinformation.
Au final, beaucoup des textes ont été peu partagés ou ont eu peu de lecteurs.
Dans la foulée de la pandémie, des experts en production et dissémination de fausses informations ont profité de la peur du virus pour faire sonner le tiroir-caisse; Alex Jones est l’un de ceux-là.
« La politique de Facebook semble être capable de contenir la croissance de désinformation partagée par ces « délinquants récidivistes », plutôt que de la diminuer.»
Entre informations trompeuses et opinions, le dialogue est parfois difficiles avec certains individus réfractaires aux consignes de la santé publique.
Sur la plus grande boutique en ligne de l’Occident, les fausses nouvelles sont partout et remplissent les coffres de l’entreprise de Jeff Bezos.