Originale, bigarrée, étonnante, l’exposition Joyce Wieland: À coeur battant est la preuve, encore une fois, que l’art peut se décliner sous toutes sortes de formes. Et que, oui, une courtepointe ou un collage de morceaux de plastique peuvent être tout autant de « beaux » arts.
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Basquiat aurait-il apprécié cette musique? Il n’y a pas à en douter. D’ailleurs, Basquiat aimait toutes les musiques, du be-bop au classique Beethoven, du hip-hop à Ravel, du jazz à la musique aléatoire de John Cage…
L’objectif de l’exposition? Représenter la femme noire « de manière diverse, abondante, colorée et visionnaire ».
Pour sa première exposition avec son père, l’artiste Alexis Vaillancourt veut faire sa place, tout en assurant une certaine continuité avec l’oeuvre de celui qui l’a précédé.
«La violence des montagnards a laissé la place à la ruse, à l’intelligence de situation. Les assauts violents aux subtilités de la diplomatie. Aux guerriers redoutables du seizième siècle vont succéder les fins diplomates de l’ère moderne», écrit le journaliste André Crettenand dans l’essai Suisse, l’invention d’une nation parut en 2016. Trois musées rendent compte de cette expertise.
Du 20 juin au 1er septembre 2019, le Centre Phi accueille l’exposition This Light Never Goes Out. Elle recense une cinquantaine de dessins satiriques et subversifs nés du crayon de Jim Carrey et publiés sur Twitter depuis 2016.
Même si l’on participe à un forum virtuel avec des interlocuteurs des 194 pays, c’est souvent par un canal individuel, ordinateur personnel ou téléphone intelligent, que l’on se connecte à la toile. L’exposition Donner corps à l’expérience de l’artiste Rafael Lozano-Hemmer et son équipe présentée au Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) jusqu’au 9 septembre propose une expérimentation collective de la technologie.
Qu’elle se situe en Europe, au Proche-Orient ou au Mexique, la guerre endeuille l’humanité. Le Musée d’art contemporain de Montréal (MAC) présente Mundos de l’artiste Teresa Margolles et Et maintenant regardez cette machine de l’artiste montréalais Emanuel Licha du 16 février au 14 mai, deux expositions qui débusquent la situation de guerre.