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Il n’en demeure pas moins que l’hypothèse d’un « ensemencement » par des météorites, elle, est prise au sérieux depuis une soixantaine d’années qu’on a découvert deux « briques » fondamentales.

En migrant dans les pays du nord de l’Europe, les Homo sapiens ont été confrontés à des pays moins ensoleillés et à des journées plus courtes, leur peau plus sombre a dû être remplacée progressivement par une peau plus pâle, absorbant donc davantage de rayons UV, produisant donc davantage de vitamine D.

Sachant que les lignées conduisant aux chimpanzés et aux humains d’aujourd’hui se sont séparées pour de bon il y a près de 7 millions d’années, on parle donc d’une évolution de la canine qui se serait produite assez vite.

Un poisson d’eau douce australien vient de battre le record du plus gros génome connu: 43 milliards de paires de base, ce qui est 30% plus gros que le détenteur du  précédent record, et 14 fois plus gros que le génome humain.

Cela fait plusieurs millions d’années que les mammifères et les oiseaux ont le sans chaud, et cela est fréquemment invoqué comme la raison derrière leur grande capacité à survivre et à évoluer sur notre planète. Selon une récente étude publiée dans Gondwana Research, ce passage au sang chaud se serait produit au même moment, il y a environ 250 millions d’années, à l’époque où les formes de vie se remettaient de la pire extinction de masse de tous les temps.

Depuis une dizaine d’années, l’arbre généalogique de nos ancêtres préhistoriques s’est complexifié. À l’Homo sapiens et au Néandertalien se sont ajouté de nouvelles espèces qui provoquent bien des débats chez les paléontologues. À défaut d’avoir une réponse par les ossements, l’étude des protéines pourrait lever un peu le voile sur le lien entre « eux » et « nous ».