Avec ces nuées de satellites vient un danger, celui des collisions mortelles dans l’espace. Un simple boulon tournant autour de la Terre à grande vitesse peut détruire un satellite… ou endommager la station spatiale internationale.
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Ultimement, cette version Telltale de The Expanse est la preuve que ce ne sont certainement pas toutes les franchises qui ont suffisamment d’ampleur et de solidité pour se permettre de publier constamment le même jeu.
« C’est un symbole de ce que nous devons continuer de combattre, et de pourquoi. Un rappel qu’une simple particule virale a beau être petite, l’infection peut quand même être toxique, »
Pourquoi coloniser l’espace? Il y a les impacts qu’on pourrait qualifier de philosophiques — élargir nos connaissances, découvrir de nouveaux horizons —, mais ceux-ci seront inévitablement confrontés aux réalités du moment.
En puisant largement dans l’oeuvre d’Asimov, Foundation s’aventure dans de la science-fiction qui va bien au-delà des pistolets laser, des guerres spatiales et des extraterrestres; il s’agit plutôt d’une exploration philosophique de la nature humaine. Et en soin, c’est là autant un défi gigantesque qu’un risque colossal.
« Si les astronautes veulent être en mesure de mener des missions spatiales en sécurité, nous devons comprendre comment leur système immunitaire est affecté et tenter de trouver des façons de contrer les changements délétères qui s’y produisent. »
L’échec de la mission Luna-25 s’inscrit dans une série de coups durs pour le programme spatial russe. Depuis la fin des années 1970, l’agence a dû composer avec une série de fusées qui explosent, une navette spatiale utilisée une seule fois et une mission vers Mars qui n’a jamais dépassé l’orbite terrestre, souligne-t-on dans un article du New Scientist.
Voyager 2 a quitté la Terre en 1977 pour explorer Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Elle est entrée dans l’espace interstellaire en 2018 et se trouve maintenant à 12,3 milliards de kilomètres de la Terre.
Il faudra tôt ou tard découvrir de quoi est composée cette fameuse matière sombre, qu’on n’a été capable jusqu’ici que de mesurer indirectement, à travers son influence gravitationnelle.
Les ondes gravitationnelles pourraient peut-être, par exemple, devenir un outil pour « voir » la matière sombre et l’énergie sombre, de la même façon que, ces dernières années, elles sont devenues un outil pour « voir » les trous noirs.