Ils sont là, en haute définition, au ralenti ou en accéléré, dans tout ce qu’ils ont de majestueux. Ce sont les animaux et les oiseaux qui peuplent notre monde, ceux qui occupent les déserts comme les océans, les jungles comme les montagnes. Présentés de façon majestueuse dans l’extraordinaire deuxième volet de la télésérie documentaire Planet Earth, à la BBC, ces voisins affublés de fourrure, de plumes ou encore d’écailles sont aussi plus que jamais menacés par l’activité du plus destructeur des mammifères: l’homme.
Browsing: environnement
Les groupes environnementaux américains se préparent au pire. Ont-ils raison de s’inquiéter? D’un côté, Trump leur a donné toutes les raisons d’avoir peur de lui. De l’autre, il n’est pas encore président que le rétropédalage semble avoir commencé.
Depuis quelques jours, un inquiétant graphique circule sur les réseaux sociaux: il montrerait les glaces de l’Arctique qui, au lieu de regagner du terrain en ce début d’hiver, seraient en train d’en perdre.
Le Canada se débarrassera de ses polluantes centrales électriques au charbon d’ici 15 ans. Du moins, voilà ce qu’a annoncé lundi la ministre fédérale de l’Environnement, Catherine McKenna, dans le cadre d’une politique visant non seulement à réduire les émissions de particules nocives pour l’environnement, mais aussi à stimuler les investissements et la création d’emplois.
Près de 70 % de la population mondiale vit en ville et une personne sur cinq vit dans une métropole de plus d’un million d’habitants. À l’aube du 375e anniversaire de Montréal, le titulaire de la Chaire UNESCO en paysage et environnement de l’Université de Montréal (CUPEUM), Philippe Poullaouec-Gonidec, qui vient de remporter le 1er prix interaméricain d’innovation éducative de l’Organisation universitaire interaméricaine, nous parle de design urbain collaboratif et de l’urbanisation effrénée de la planète.
Sur les dossiers scientifiques, on sait déjà que Donald Trump est climatosceptique et que les défenseurs de l’assurance-maladie d’Obama craignent pour sa survie. Quoi d’autre?
Selon l’OMS, la pollution atmosphérique a tué 3,7 millions de personnes dans le monde en 2012 dont 127 000 enfants âgés de moins de cinq ans.
C’est sans doute la seule chose qui manquait au palmarès de Donald Trump : son nom et le mot « anthropocène » dans la même phrase.
Pendant que les Haïtiens n’en finissent pas de compter leurs morts, les Américains poussent un soupir de soulagement: les dégâts de l’ouragan Matthew seront « seulement » de quelques milliards de dollars. Mais ce n’est que partie remise pour les assureurs… et pour l’industrie pétrolière, le jour où elle sera frappée de plein fouet.
Vu de l’étranger, l’antagonisme des politiciens de Washington sur les changements climatiques semble absolu: les démocrates veulent agir, les républicains en nient l’existence. Pourtant, au niveau local, la réalité est tout autre : sur la côte Atlantique par exemple, les deux camps tirent la sonnette d’alarme.