« On pourrait penser que la Russie aurait assez de territoire, et pourrait se concentrer sur l’amélioration des conditions de sa population. Mais non, ce n’est pas assez pour l’empereur Poutine. »
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Hugo Prévost discute avec Ève Tessier-Bouchard, la directrice de ce projet offrant une essentielle éducation aux médias, entre autres aspects.
C’est effectivement le bédéiste bien connu pour sa série Les Nombrils qui a repris le flambeau du célèbre personnage d’André Franquin, et pour en apprendre davantage sur ce nouvel album fort attendu, Pieuvre.ca a eu le plaisir de s’entretenir avec lui.
La prestation unique de Searching For Goya réserve une expérience digne des scènes new-yorkaises que la compagnie connaît bien. « Il faut venir à notre rencontre, au nom de la passion de vivre, de la compassion et de l’humanité. »
Anaïs Elboujdaïni répond aux questions de Hugo Prévost sur l’objectivité en temps de conflit, le journalisme de guerre et sur le fait de se retrouver plongée, au hasard, dans la violence et la mort.
Pierre-Paul Noreau, le président du CPQ, répond aux questions de Hugo Prévost sur le fonctionnement du Conseil, les défis liés aux médias numériques, les enjeux de financement et la question de l’indépendance de l’institution.
Camille Dauphinais-Pelletier répond aux questions d’Hugo Prévost et explique comment le fait de s’adapter à de nouvelles plateformes est essentiel pour rejoindre le public et lui parler des enjeux de l’heure.
Ultimement, donc, Entre deux mondes, comme l’indique son titre, se plonge dans ce qu’il pourrait convenir d’appeler des limbes sociologiques, cet espace entre l’ailleurs et l’ici, entre deux identités. Ou, peut-être, dans ce qu’il convient de qualifier de nouvelle vie?
Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec la créatrice de cette adaptation de la pièce la plus jouée du répertoire yiddish.
La directrice de CNEWA Canada dit fonder beaucoup d’espoirs « dans la diplomatie canadienne, que notre gouvernement intervienne et nous donne la possibilité d’aider, d’avoir un impact positif et palpable. Parce que nous attendons d’avoir la permission d’aider ».