Agir de façon « audacieuse » en matière de lutte aux changements climatiques pourrait mener à dégager des bénéfices économiques de 26 000 milliards de dollars d’ici 2030.
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« Même une industrie aussi puissante que le pétrole ou le gaz va devoir, à un moment donné, se tourner vers les réassureurs. Si juste une poignée de compagnies font ce virage, ça fait une grosse différence. »
Sur les 200 millions de tonnes de gaz à effet de serre (GES) calculées par l’équipe de Cambridge, 92 % ont été émises dans les quatre dernières années.
Reste qu’on ne parle que de 30 secondes, et que la cible finale, si elle doit être atteinte, est toujours située à des décennies dans le futur, et non des années…
Bref, il reste beaucoup de travail à faire pour améliorer la résolution des modèles climatiques afin de pouvoir prendre en compte les effets locaux influençant les vents.
« La planète fait simultanément face à une crise d’inflation, de sécurité nationale et du climat, toutes provoquées par notre dépendance envers des combustibles fossiles coûteux, non sécuritaires et aux prix volatils. »
Il faudra en fait attendre au moins après l’hiver 2023-2024 pour que la situation se stabilise, écrivent les experts de l’Economist Intelligence Unit.
L’intensité de ce qui se passe en Chine — combiné aux autres événements météo extrêmes des dernières années — semble accélérer les discussions sur l’urgence de réduire les émissions de gaz à effet de serre.
Il en coûterait environ 83 milliards de dollars pour créer des postes, dans les énergies vertes, qui seraient destinés à tous les travailleurs occupant présentement un emploi dans des centrales au charbon, aux États-Unis.
Il faudrait attendre les années 1930 avant que l’ingénieur britannique Guy Callendar, analysant les données météorologiques des dernières décennies à travers le monde, ne devienne le premier à identifier une tendance généralisée à la hausse des températures.