Au lendemain d’élections fédérales menées sans enthousiasme et sans vrais enjeux, les Canadiens se réveillent non pas avec la gueule de bois, mais avec le sentiment d’avoir un peu perdu leur temps.
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L’environnement fut largement le parent pauvre des élections fédérales.
En cas d’absence de victoire claire pour l’un ou l’autre des partis en lice à Ottawa, trois scénarios sont envisageables, juge le professeur Hugo Cyr, de l’UQAM.
Le mythe mis en mot par Sophocle est toujours d’actualité en 2021, pour le meilleur et pour le pire.
À 10 jours de la date du scrutin, impossible de déterminer le vainqueur de ce qui est maintenant une course à deux au pays, et à trois au Québec.
La majorité des principaux partis proposent des plans environnementaux détaillés.
La 43e campagne électorale fédérale canadienne aura débuté avec des attaques partisanes… et aura pris fin avec des attaques partisanes. Alors que 27 millions de Canadiens sont appelés à s’exprimer, lundi 21 octobre, les deux principaux partis en lice pour former le gouvernement, le Parti libéral (PLC) et le Parti conservateur (PCC), sont nez à nez dans les intentions de vote, après avoir consacré une bonne partie des 41 derniers jours à s’attaquer mutuellement.
La réputation d’Alexandre Boulerice n’est plus à faire. Député de Rosemont–La Petite-Patrie depuis 2011, alors qu’il avait été porté par la vague orange, il a été réélu avec près de 50% des voix en 2015, loin devant ses adversaires de l’époque. Pour sa formation, le Nouveau Parti démocratique (NPD), la ferveur de 2011 semble toutefois moins présente. Rencontre à mi-parcours de la campagne électorale fédérale.
Sans le pétrole albertain, le Québec serait forcé de s’approvisionner en Arabie saoudite, selon certains de nos politiciens fédéraux, dont le chef conservateur Andrew Scheer. Les chiffres disent autre chose, analyse le Détecteur de rumeurs.
Près d’une semaine après le début de la campagne électorale fédérale, le Parti vert rêve-t-il encore de former le prochain gouvernement? Pour Daniel Green, chef adjoint des verts et candidat dans Outremont, cette course politique ne doit avoir qu’un but: mettre sur pied un gouvernement capable de s’attaquer à la crise climatique.