L’idole, paru cet automne chez Boréal, est le plus récent roman de Louise Desjardins qui en avait déjà cinq à son actif et qui a été récompensée pour La love, son tout premier opus. C’est l’histoire d’Éveline une veuve sur le point de devenir arrière-grand-mère, originaire d’Abitibi et Montréalaise d’adoption qui décide de s’exiler en Argentine pour y finir sa vie.
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Le centre des arts de la scène Les Muses, une école qui offre une formation professionnelle en arts scéniques à des artistes vivant dans une situation de handicap, célèbre son vingtième anniversaire. Pour l’occasion, le spectacle Fête, petites écorchures et effets presque spéciaux était présenté les 24 et 25 octobre à la prestigieuse Cinquième Salle de la Place des Arts.
À l’image de Pied Piper, la start-up fictive dont elle suit les déboires, la série Silicon Valley parvient à se réinventer dans sa quatrième saison, tout en demeurant aussi irrévérencieuse et hilarante que par le passé
Le livre est beau, épuré. Avec un petit côté brut, un papier un peu grumeleux sous les doigts. On a l’impression de caresser ici quelque chose qui sort à peine de l’usine. Un choix idéal pour cet hommage livresque au designer québécois Michel Dallaire et son demi-siècle de carrière.
Beau petit succès de ICI Radio-Canada qui doit entamer prochainement sa deuxième saison, voilà l’occasion idéale de découvrir ou redécouvrir la télésérie Lâcher prise, qui utilise un sujet important pour divertir intelligemment, soit le burn-out. Et bonne nouvelle, la candeur et la vivacité de sa distribution, de ses textes et de ses situations font qu’elle se réécoute avec autant de bonheur que la première fois.
C’est ce mardi qu’a été dévoilée la programmation de la 23e édition du festival Cinemania, proposant 54 films issus de la francophonie. Cette 23e édition riche en histoires de toutes sortes sera présentée du 2 au 12 novembre 2017 au Cinéma Impérial, à la Cinémathèque québécoise et au Cinéma du Parc.
Bienvenue nulle part. Ou plutôt, bienvenue au bout du monde. Pour son documentaire Sur la lune de nickel, le cinéaste québécois François Jacob nous transporte dans l’extrême-nord de la Russie, là où l’hiver dure neuf mois par année, et où l’on s’éreinte à sortir de terre le précieux nickel en attendant une vie meilleure, ou encore la mort.
Dans la petite salle du théâtre Propero, en sous-sol, se jouent le mots de Lars Noren, dramaturge suédois connu pour ses textes acerbes sur la cruauté du monde.
Dans une maison installée loin de l’agitation de la ville, Agnes, une jeune femme en apparence (relativement) normale, s’adonne en fait à la torture et à l’assassinat méthodique de victimes innocentes. Avec sa plus récente victime, elle a plutôt décider d’étirer le plaisir et de s’amuser un peu.
Des centaines d’amateurs des aventures du plus célèbre sorcier à lunettes ont pu assister à un concert inusité à la salle Wilfrid-Pelletier de la Place des Arts ce weekend: la projection sur écran géant du second film de la série Harry Potter, accompagné en direct de la musique d’un orchestre symphonique.