À peine 36,5 % des jeunes millénariaux étaient propriétaires en 2021, comparativement à 44,1 % en 2011
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« Les logements coûtent cher en ville, pas en raison des coûts de construction, mais en raison du coût des terrains. Rien n’alimente le coût de la vie comme les fortes sommes consacrées au transport..
La part des ménages qui consacraient 30 % ou plus de leur revenu au logement a diminué, mais cette tendance pourrait s’inverser en raison de la fin des programmes d’aide liés à la pandémie de COVID-19.
La crise canadienne en matière de logement ne date pas d’hier, et certainement pas de la mise en confinement de la population, dans le contexte de la pandémie de COVID-19. Ainsi, en date de 2018, déjà, plus de 1,6 million de ménages d’ici éprouvaient des « besoins impérieux » en matière de logement, affirme Statistique Canada dans une récente note d’information.