Une journée après avoir annoncé que la planète était aux prises avec une pandémie de COVID-19, la maladie provoquée par le nouveau coronavirus, l’Organisation mondiale de la santé (OMS) affirme qu’il est encore possible de contrôler l’ampleur de la crise, et que la planète ne doit pas céder au désespoir.
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Parmi les nombreuses théories du complot qui circulent autour du coronavirus, le plus troublant est sans doute qu’il y ait des gens prêts à croire que des gouvernements procéderaient à des exterminations de masse chez les malades.
La « nouvelle » selon laquelle le taux de décès du coronavirus serait maintenant de 3,4% en a pris plus d’un par surprise… jusqu’à ce qu’on comprenne qu’il s’agit plutôt d’un problème de communication.
On n’est plus aussi sûr que le pangolin soit la source du coronavirus. L’affirmation selon laquelle le virus de ce petit mammifère serait génétiquement semblable à notre virus à 99%, s’avère être une erreur de communication « embarrassante ».
Un sondage publié cette semaine contient une bonne et une mauvaise nouvelle. La bonne: en dépit de l’avalanche de désinformation autour du coronavirus depuis deux mois, une majorité d’Américains voient clair à travers l’écran de fumée. La mauvaise: les républicains sont divisés sur qui croire, entre Trump et les experts médicaux.
Une économie menacée de toutes parts par la dure réalité géopolitique, voire même sanitaire, de l’année 2020: voilà le constat peu reluisant que présente le magazine The Economist dans son plus récent rapport sur l’état de l’économie mondiale. Selon la publication spécialisée, cinq menaces principales pèsent ainsi actuellement sur les structures et acteurs économiques. Et la plupart d’entre elles dépendent du bon vouloir d’un certain locataire de la Maison-Blanche.
Les nouvelles inquiétantes sur une percée du coronavirus en Corée cette semaine — une centaine de cas —, ou au Japon — ses deux premiers décès coup sur coup — masquent deux réalités encourageantes: le nombre de nouveaux cas quotidiens est peut-être en train de ralentir. Et dans 80% des cas, l’infection est sans gravité.
En trois semaines, 90 médias dans 39 pays ont publié quelque 400 vérifications de faits autour du nouveau coronavirus. Dont plusieurs dizaines tournaient autour de faux traitements ou de fausses façons de prévenir la contagion. Et un rapide survol de ce qui a été publié depuis le 24 janvier, révèle que ces fausses nouvelles demeurent très populaires.
La semaine dernière, on pouvait trouver, grâce à Google, quelque 200 textes de vérification des faits sur le coronavirus, publiés en 15 langues par divers médias à travers le monde. Mais Google n’arrivait pas à faire ressortir ces vérifications très haut dans les résultats de recherches.
Depuis la mi-janvier, nombre de fausses nouvelles inventées de toutes pièces sur le coronavirus ont été abondamment relayées sur les réseaux. Mais des recherches scientifiques sérieuses peuvent elles aussi être abondamment partagées… même si elles sont erronées. Le Détecteur de rumeurs pointe trois exemples illustrant pourquoi il faut être prudent avant de tirer des conclusions.