À partir de quel seuil une maladie devient-elle assez grave pour qu’on recommande des protections comme un masque N95? Selon les experts, il est essentiel de répondre à ce genre de question.
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Même s’il est vrai que certains groupes ethniques ont été plus touchés par la pandémie de COVID-19, les facteurs socio-économiques semblent avoir joué un rôle déterminant, dès le début de la pandémie.
Proportionnellement, les non-vaccinés étaient systématiquement plus à risque d’être l’objet de cas graves de COVID conduisant à des hospitalisations, voire plus à risque d’en mourir.
Au cours de l’été dernier, 40 % des Canadiens ignoraient qu’ils avaient été infectés, notamment parce qu’ils n’ont jamais obtenu de résultat positif à un test de dépistage.
L’OMS en appelle — une fois encore — à plus de transparence dans le partage des informations, seule façon de venir à bout de cette pandémie — et des prochaines pandémies.
Guerre en Ukraine, coronavirus, TikTok… 2022 fut une année faste pour les menteurs sur le web. Mais les pourfendeurs des fausses informations veillaient aussi au grain.
Si, malgré tous les facteurs de risque, l’obligation du port du masque a tout de même fait une différence, cela témoigne d’à quel point cette mesure a été sous-estimée.
En bout de ligne, la grande question reste de savoir si cette recherche, qu’elle ait contrevenue ou non aux règles, apporte quelque chose aux humains affectés par la COVID.
Le problème, révèle le magazine médical STAT cette semaine, c’est que Pfizer et Moderna ne semblent pas enclins à ouvrir la porte à un éventuel concurrent.
Il faut viser une prise de conscience dans la communauté scientifique du risque d’avoir autant de recherches pré-publiées de faible qualité qui pourraient continuer indéfiniment d’être citées.