Plusieurs facteurs peuvent influencer les résultats des études sur les effets bénéfiques de l’alcool sur le cœur, et plusieurs études ont failli à prendre en compte ces facteurs. La recherche ne parvient donc pas à un consensus pour l’instant, mais les doutes quant à un effet bénéfique obligent à être prudent.
La bière, du moins selon l’état des connaissances actuelles, serait aussi vieille que l’agriculture.
En gardant un esprit critique, il est possible de déterminer la pertinence des différents experts, de se faire une opinion nuancée d’un sujet controversé et de voir s’il est possible d’adapter les recommandations à sa situation personnelle.
La littérature scientifique a bien du mal à s’entendre entre les multiples facteurs en cause.
Au Québec et en Colombie-Britannique, le vin est à l’honneur. Dans la première province, le vin représentait 43,5 % des ventes totales d’alcool, contre 33,4 % dans la seconde.
Ce sont les types d’alcools et leur quantité qui peuvent provoquer une gueule de bois bien carabinée.
Plusieurs facteurs viennent complexifier l’évaluation de la quantité d’alcool bue depuis l’éclatement de la crise.
Pour certains, chaque lendemain de congé, en particulier au temps des Fêtes, comporte le risque de se réveiller avec un mal de tête, la nausée et une fatigue extrême, résultats d’une soirée trop bien arrosée. Pourquoi a-t-on la gueule de bois ? Y a-t-il des cures miracles ? Peut-on prévenir? Le Détecteur de rumeurs fait le tour de la question.
Le cliché du Russe buvant à en perdre la tête (et bien souvent, la vie) semble avoir du plomb dans l’aile. Selon de nouvelles données publiées par l’Organisation mondiale de la santé, la consommation d’alcool a ainsi chuté de 43% de 2003 à 2016.
Reykjavik Grapevine a demandé à l’historien Stefan Palsson pourquoi l’âge légal pour consommer de l’alcool est aussi élevé en Islande ?
