Encore faut-il s’assurer que les actuels statuts de zones protégées ou d’aires protégées remplissent bel et bien leur fonction.
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La question risque d’être sur le tapis pendant la COP15, surtout considérant la réputation mitigée acquise par le Canada ces dernières années, à la fois défenseur de l’environnement et producteur d’énergies fossiles.
Parmi les cibles identifiées dans le document de travail : protéger au moins 30 % des territoires à travers le monde d’ici 2030 — à l’heure actuelle, 15 % des terres et 7,5 % des océans sont protégés.
« Ce que suggère réellement cette étude, c’est que lorsque cela est faisable, sur les plans économique et environnemental, ramener le bison pourrait avoir un effet positif encore plus marqué sur la préservation de la biodiversité. »
La réintroduction des gros mammifères est une stratégie souvent négligée dans les efforts de restauration : ces approches ne sont pas toujours populaires puisque les gens ont peur de ces animaux et les voient comme des nuisances.
On parle davantage de la crise climatique que de l’érosion de la biodiversité. Les deux…
Une nouvelle étude indique que le rythme actuel de déclin de la biodiversité, dans les écosystèmes fonctionnant à l’aide d’eau douce, est plus élevé que lors de l’extinction, vers la fin du Crétacé, qui a signé l’arrêt de mort des dinosaures: les dégâts qui sont causés en quelques décennies, voire quelques siècles, pourraient nécessiter des millions d’années pour que la situation revienne à la normale.
Trouvées sous 900 mètres de glace et à près de 300 km de l’accès à l’océan le plus proche: la résilience de certaines formes de vie sous la calotte glaciaire de l’Antarctique continue d’étonner.
Inutile de dire qu’au plan scientifique, tout ce qui tourne autour de la COVID — en particulier les vaccins et les variants — sera suivi de très près cette année. Mais à quoi d’autre faut-il s’attendre en 2021?
À l’extrême nord du Venezuela, l’île Margarita abrite des capucins bruns. Ces « sapajous » (Sapajus apella) pourraient bien disparaître. Pas à cause des chasseurs ou des agriculteurs — mécontents qu’ils pillent les champs de maïs — mais plutôt à cause de la température moyenne, qui avoisine désormais les 30 degrés C.