Immense classique, The Big Guy and Rusty the Boy Robot n’a pas pris une seule ride, et vaut encore la peine d’être lu de nos jours. Avec ses pages de grand format rendant justice aux illustrations de Geof Darrow, il s’agit d’une édition proche du livre d’art, que tous les collectionneurs voudront se procurer.
Browsing: bd
Profitant de la sortie de Skate Park, son plus récent album dans lequel des adolescents s’affrontent lors de courses de patins à roulettes et de skateboard au sein d’un monde postapocalyptique, Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec ce prolifique artiste.
La Bête constitue à la fois une ode à l’enfance, aux animaux et à l’âge d’or de la bande dessinée franco-belge. Il est impossible de rester insensible devant ce récit touchant et magnifiquement illustré, dans lequel Zidrou et Frank Pé parviennent à réinventer le marsupilami avec un grand respect pour le travail d’André Franquin.
J’ai personnellement adoré The Ex-People, une bande dessinée en deux tomes qui, derrière son apparente légèreté, constitue une dissertation philosophique et théologique sur la vie, la mort, et tout ce qu’il y a entre les deux.
Rempli de mystère et de poésie, Le Visage de Pavil parvient à captiver le lecteur dès les premières pages grâce à son monde unique, et se laisse dévorer jusqu’à la fin. On peut parler d’une vraie réussite de la part de Jeremy Perrodeau, et d’une bande dessinée qui mérite définitivement d’être découverte.
La maison d’édition Les Requins Marteaux aime publier des bandes dessinées iconoclastes et décalées, et c’est encore le cas avec Bottleneck, l’un des albums les plus étranges depuis longtemps.
C’est effectivement le bédéiste bien connu pour sa série Les Nombrils qui a repris le flambeau du célèbre personnage d’André Franquin, et pour en apprendre davantage sur ce nouvel album fort attendu, Pieuvre.ca a eu le plaisir de s’entretenir avec lui.
Astérix et sa bande ont fait vibrer des générations de lecteur petits et grands depuis les années 1960, et c’est un grand plaisir de constater que l’esprit de la série est toujours bien vivant dans L’iris blanc. Il s’agit d’un album très réussi, que les amateurs de bandes dessinées seront heureux de retrouver sous le sapin.
Avec Les enfants ne se laissaient pas faire, Joann Sfar livre un album intime au propos universel, qui incite à la réflexion sur les travers de nos sociétés modernes ainsi que sur les horreurs de la guerre, peu importe l’époque ou le pays où elle a cours.
Pieuvre a eu le plaisir de s’entretenir avec la créatrice de cette adaptation de la pièce la plus jouée du répertoire yiddish.