Un vent socialiste souffle aux États-Unis, mais le maire de New York Bill de Blasio ne faisait pas allusion au révolutionnaire en lançant «Hasta la victoria, siempre!» devant les travailleurs en grève de l’aéroport de Miami, rapporte le quotidien mexicain La Jornada le 28 juin. Malgré les excuses pour cette référence à Che Guevara, les anticastristes de l’État de la Floride en ont profité pour épingler ce candidat à l’investiture démocrate.
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Sommes-nous au début d’une nouvelle crise du logement au Québec? Selon Philippe Hurteau, chercheur à lIRIS, l’Institut de recherche et d’informations socioéconomiques, le retour à la normale sur le marché locatif après la précédente crise, au début des années 2000, a en fait occulté certains problèmes systémiques qui, inéluctablement, allaient mener à ce qui est qualifié de crise par plusieurs intervenants, mais de simple « rareté » par le gouvernement Legault.
Au moment même où Téhéran pourrait dépasser, dès jeudi, la limite d’uranium enrichi établie en vertu de l’accord sur le nucléaire conclu en 2015, voilà que la chef des affaires politiques des Nations unies lance un appel à préserver l’entente que Donald Trump semble vouloir torpiller par tous les moyens.
Avec la montée du populisme, la droite mise sur l’efficacité pour neutraliser le politique, d’après le sociologue Pierre Musso dans le Monde diplomatique de mai. À gauche, les démocrates Bernie Sanders et Alexandria Ocasio-Cortez redéfinissent le socialisme, d’après l’historien Edward Castleton, dans le Monde diplomatique de juin.
Un ton inutilement négatif, un florilège de mensonges, un manque flagrant de respect… Les électeurs américains ont une bien piètre opinion des discours de leurs politiciens, eux qui considèrent que la situation s’est fortement détériorée ces dernières années, révèle une récente étude réalisée par le Pew Research Center.
Il faudra plus qu’un coup de pouce économique offert aux Palestiniens pour mettre fin au conflit qui déchire le Proche-Orient depuis bientôt 75 ans, a déclaré jeudi l’envoyé des Nations unies pour le Moyen-Orient, devant le Conseil de sécurité.
Guerres, violences, persécutions… les troubles qui agitent notre planète ont jeté un nombre record de gens sur les routes, loin d’un foyer trop souvent réduit à un tas de ruines fumantes. Selon le plus récent rapport du Haut-Commissariat aux réfugiés des Nations unies (HCR), quelque 71 millions d’hommes, femmes et d’enfants étaient déracinées à la fin de 2018, un triste constat.
« Fausses nouvelles » de la part des grands médias, chants appelant à l’emprisonnement de son ex-rivale Hilary Clinton, accusations de « collusion » lancées aux démocrates… Le président américain Donald Trump a fait feu de tout bois, mardi soir, lors du lancement officiel de sa campagne en vue de l’élection de novembre 2020.
Environ deux milliards de personnes en plus devraient habiter notre planète d’ici le milieu du 21e siècle, portant la population mondiale à environ 9,7 milliards d’individus, révèle un nouveau rapport des Nations unies. En 2100, la Terre devrait compter près de 11 milliards d’humains.
Ce sont à présent plusieurs des grandes compagnies du monde, de la technologie jusqu’aux banques, qui admettent que les changements climatiques vont affecter négativement leurs affaires. Quoique quelques-unes, comme la pharmaceutique Eli Lilly, y voient une opportunité… avec l’augmentation des risques de maladies infectieuses.