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La série Le fil de l’Histoire raconté par Ariane & Nino utilise la bande dessinée pour rendre cette matière plus attrayante auprès des jeunes, et après les pyramides de Khéops, les croisades et Albert Einstein, c’est au tour de Louis XIV, surnommé le Roi-Soleil, d’avoir droit à son propre album.

Porteuse de possibilités narratives immenses, la science a de quoi inspirer les auteurs. Que ce soit par ses découvertes captivantes, les esprits fascinants qui la font vivre ou encore les questions éthiques ou philosophiques qu’elle soulève, la science demeure un terreau fertile pour élaborer le nœud d’une histoire.

Paru en 2009, le roman Gagner la guerre de Jean-Philippe Jaworski est considéré comme l’une des meilleures œuvres de fantasy française, et cette épopée prend vie sous nos yeux comme jamais auparavant, avec la sortie d’une adaptation en bande dessinée signée Frédéric Genêt.

Dans les gigantesques étendues rurales du nord de l’Islande, un corps est découvert. Qui est la victime? Qui est responsable de sa mort? Avec Natt, l’auteur islandais Ragnar Jonasson cherche à créer un univers glauque et sombre, sous la menace du volcan Eyjafjallajökull.

Étrangement, la démission du ministre français de la Transition écologique et solidaire, Nicolas Hulot le 28 août a fait beaucoup plus jaser que son annonce du Jour du dépassement le 1er août. Dirigeant son bureau de design industriel à Amsterdam, Babette Porcelijn démystifie et relativise notre rapport à l’environnement avec le livre Notre empreinte cachée : tout ce qu’il faut savoir pour vivre d’un pas léger sur la Terre paru aux Éditions du Seuil.

L’économie et la psychologie sont des sujets qui peuvent sembler arides de prime abord, mais grâce au talent de vulgarisateur de Tim Kasser et aux illustrations de Larry Gonnick, Hypercapitalisme parvient à en traiter efficacement sous le couvert de la bande dessinée.

S’il est de notoriété publique que le Canada n’est pas le « plus meilleur pays du monde », une citation peut-être attribuée à la blague à l’ex-premier ministre Jean Chrétien, on aurait pu croire qu’après la légalisation du droit à l’avortement par la Cour suprême, en 1988, les femmes d’un océan à l’autre auraient rapidement eu accès à des services d’avortement. Or, dans différentes provinces, y compris à l’Île-du-Prince-Édouard, cela ne devint une réalité qu’en 2016, écrit la journaliste Kate McKenna dans No Choice, paru ce printemps chez Fernwood Publishing.