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Trois continents, 24 intervenants. Des intervenants qui portent tous le prénom David. C’est à travers ce prisme orthographique pour le moins originale que la cinéaste et documentariste Céline Baril propose, dans 24 Davids, un tour du monde et des enjeux qui préoccupent la société moderne. Une oeuvre iconoclaste qui lançait en grande pompe l’édition 2017 des Rencontres internationales du documentaire de Montréal (RIDM).

Le programme triple présenté le 12 novembre à la 20e édition des Rencontres Internationales du documentaire de Montréal (RIDM) projetait les courts-métrages The Bird and Us (2016) de Félix Rehm et La frontière (2017) de Félix Lamarche, ainsi que le moyen-métrage Braguino (2017) de Clément Cogitore. À l’intérieur du cadre de cette série, chaque film aborde un thème en lien avec un état de la matière sensibilisant le spectateur à la plastique de l’image.

Autant le dire tout de suite, Daddy’s Home était loin d’être un bon film et sa suite, malgré le succès du premier était tout sauf nécessaire. Cela étant dit, sans surpasser la qualité aléatoire du premier volet, cette suite qui épouse tout le schéma du film de Noël habituel s’écoute avec beaucoup de facilité et est pratiquement assurée de décocher ne serait-ce que le plus sincère des sourires. Ce, à moins d’avoir son cœur très assombri par la grisaille des mauvais jours.

Le génie du cinéaste grec Yorgos Lanthimos n’est plus à prouver et pourtant, même pour les cinéphiles avertis, il parvient encore à surprendre à chaque détour. On aimerait donc déclarer que The Killing of a Sacred Deer est sa proposition la plus décalée, mais face au contenu de son envieuse filmographie, on dira seulement qu’il s’agit à nouveau d’une œuvre rien de moins qu’admirable tout autant qu’elle est déroutante.

One of the worst offenses a movie can commit is be mediocre. Everyone remembers both great films as well as terrible films. Even if these films are on the opposite side of the spectrum in quality, memorable scenes will be ingrained in our brain like an embarrassing first kiss, to that passionate tenth one. Batman v. Superman: Dawn of Justice is an awful movie, just awful.

Les comédies irrévérencieuses ont la cote.. ou du moins, c’est ce que Hollywood essaie de se faire croire. Ainsi, après le grand succès surprise que fut le premier Bad Moms, ils ont décidé de remettre ça en s’attaquant à ce qui serait, s’il y en a vraiment une, la période la plus stressante pour toutes mères: Noël. Débauche et absurdités reviennent à vive allure pour une suite aussi sans queue ni tête qu’au premier tournant.

Qu’on le veuille ou non, les films adaptés des superhéros de Marvel n’ont jamais été reconnus pour leur originalité, mais davantage pour leur efficacité, surtout face au moule que Disney leur a fait répéter ad nauseam au fil des multiples épisodes de l’univers qui se succèdent plusieurs fois par année. Quelle surprise alors d’y voir un cinéaste au style singulier réussir avec insistance à y insuffler son propre aura dans ce qui pourrait bien être la proposition la plus déjantée de tout le Marvel Cinematic Universe jusqu’à maintenant.

Tout semble revenu à la normale dans la petite ville de Hawkins, aux États-Unis. Après les événements dramatiques de la première saison de la télésérie Stranger Things, diffusée l’an dernier sur Netflix, les habitants donnaient l’impression d’être passés à autre chose. Mais aux alentours de l’Halloween, l’Upside Down n’en a pas fini avec Eleven, Mike, Dustin, Lucas et Will…