Dans le cas du manchot, mises bout à bout, ces 10 000 et quelques siestes totalisent environ 11 heures de sommeil. Il n’est toutefois recommandé à aucun humain de tenter de les imiter…
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
L’idée de neutraliser la désinformation par des stratégies préventives — soit de « vacciner » contre la désinformation, pour reprendre l’expression de certains chercheurs — a fait l’objet de plusieurs études dans la dernière décennie.
Dans leur recherche, publiée le 27 novembre dans le Journal of Climate, les chercheurs estiment que la fréquence des événements extrêmes a augmenté de 17 % par degré Celsius supplémentaire, alors que le modèle climatique qu’ils ont utilisé comme base de comparaison prévoyait plutôt 11 %.
Quoi qu’il arrive à la COP28, négociateurs et observateurs externes estiment que les pays riches arrivent à la rencontre avec moins de pouvoir de négociation que jamais.
La manipulation des données par un chercheur peu scrupuleux a toujours été un enjeu dans la recherche, mais cet enjeu pourrait bientôt devenir plus important, note l’ophtalmologiste Italien Giuseppe Giannaccare, de l’Université de Cagliari, auteur principal de « l’expérience ».
Pour ajouter à la complexité du portrait, les plus anciens des génomes détectés révèlent que ces chasseurs-cueilleurs auraient eux-mêmes pris la place de populations qui étaient déjà sur place. Ou du moins, qui étaient déjà passées par là.
Sur Twitter (aujourd’hui appelé X), « la communauté dénialiste produit ou relaie 3,5 fois plus de messages toxiques » (définis comme « des obscénités, des insultes, des menaces, des attaques sur le genre ou la religion »)
S’il y a un tel manque d’études sur le sujet, c’est parce que les experts du sommeil semblent avoir pris pour acquis que de heurter ce bouton trop souvent était une mauvaise habitude.
Resterait toutefois à séparer les vêtements par catégorie. Ou même à les plier. Mais ce sont là des tâches qui dépassent pour l’instant les capacités des robots…
Effet possible des réseaux sociaux, ce sont les 18-24 ans qui sont les moins susceptibles d’avoir vu passer une nouvelle sur le climat dans la dernière semaine (42 %), à l’opposé des 55 ans et plus (71 %).