Par essais et erreurs, les experts tentent de découvrir les véritables fonctions de ces gènes ou, à l’inverse, de découvrir quel serait le génome « minimal » qui permettrait encore à un tel organisme de vivre et de se reproduire.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les révélations des journalistes, cette semaine, ne sont pas tout à fait une première. Il y a 13 mois de cela, à la veille de la COP27 qui avait alors lieu en Égypte, on apprenait qu’une firme américaine de relations publiques qui a eu parmi ses clients les grandes compagnies pétrolières.
Des avions, des ballons, des sismographes, des détecteurs d’infrasons et d’autres équipements, étaient donc à l’écoute le 24 septembre, entre le moment où la capsule est entrée dans l’atmosphère au-dessus de San Francisco, et celui où son parachute s’est déployé, sept minutes plus tard.
Les armes autonomes contrôlées par l’IA existent d’ores et déjà, et en dépit des progrès des dernières années, il est acquis qu’elles peuvent encore faire des erreurs. De plus, le potentiel de dommages élevé est inhérent à la nature même de ces systèmes: leur rapidité, qui constitue leur principal attrait aux yeux des militaires, et leur complexité.
Les auteurs de la recherche en concluent aussi que ce cas n’était pas une exception, ce qui ouvre la porte sur une frontière, qui commençait dès cette époque à être tracée, entre les traitements traditionnels basés sur les croyances ou les rituels et ceux basés sur l’observation, qui deviendraient la base de la médecine.
Pour la cosmologie, c’est rien de moins que sa plus importante controverse: une controverse qui se rattache à la composition de l’Univers, dont seulement 5 % est fait de matière ordinaire, contre 27 % de « matière sombre » et 68% d’énergie sombre.
La rédaction d’un rapport sur l’état de l’IA a été confiée au chercheur montréalais Yoshua Bengio: en théorie, il pourrait s’agir d’un premier pas vers un « GIEC de l’IA ».
Les 55 pays dont les économies sont jugées les plus « climatiquement vulnérables », ont subi des pertes et des dommages de plus de 500 milliards $ dans les 20 dernières années.
Didier Raoult a pris sa retraite de professeur en juin 2021 et a quitté son poste de directeur de l’IHU en août 2022.
La poussière générée par cet impact aurait pu empêcher la majeure partie des rayons du Soleil d’atteindre le sol. Entraînant du coup la mort d’une bonne partie des végétaux.