Ce n’est pas la première fois que des objets de fabrication humaine créent de tels petits cratères : les troisièmes étages des fusées qui ont mené là-haut les astronautes d’Apollo 13, 14, 15 et 17, ont longtemps tourné autour de la Lune, avant de s’y écraser.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Des chercheurs rappellent que ce sont les activités humaines qui facilitent les migrations des vers de terre, entre la terre emprisonnée dans nos bottes et celle transportée par nos pneus.
L’objectif de l’altération génétique avant la naissance — quelque chose qui n’avait jamais été fait sur un embryon humain — était de protéger ces bébés d’une infection par le VIH, le virus responsable du sida.
D’un point de vue purement légal, les compagnies vont devoir réfléchir à la légitimité de conserver autant de données et aux préjudices que cela pourrait entraîner: c’est le concept de « minimisation des données personnelles », qui stipule que les données recueillies et, surtout, gardées en mémoire, soient limitées au strict minimum.
Une analyse de « l’écosystème » confirme que la « démographie » des bactéries a bel et bien changé, suggérant une colonisation à long terme de leur nouvel environnement.
La plupart des cas, il faut le rappeler, sont par contre bénins. Aucun décès n’avait été rapporté en Europe ou en Amérique du nord en date du 26 juin.
Marco Polo a peut-être rapporté de Chine des nouilles faites avec du riz, mais il est clairement établi par les historiens qu’il n’est pas responsable de l’introduction des pâtes en Italie ou en Europe.
Selon une estimation récemment revue à la hausse par l’Organisation mondiale de la santé, le nombre total de décès de la COVID serait à présent de plus de 15 millions.
Une hypothèse est qu’il aurait pu y avoir, au fil du temps, plus d’une tentative de symbiose, dont seule la « nôtre » aurait réussi. Une autre hypothèse est que plusieurs bactéries auraient été absorbées au fil du temps, laissant certains de leurs gènes au passage.
Les astronomes estiment que de tels impacts sur Jupiter sont de 100 à 1000 fois plus fréquents que sur Terre — d’où leur intérêt pour les étudier là-bas plutôt qu’ici.