La réintroduction des gros mammifères est une stratégie souvent négligée dans les efforts de restauration : ces approches ne sont pas toujours populaires puisque les gens ont peur de ces animaux et les voient comme des nuisances.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Il faut viser une prise de conscience dans la communauté scientifique du risque d’avoir autant de recherches pré-publiées de faible qualité qui pourraient continuer indéfiniment d’être citées.
Au Royaume-Uni, en prévision de nouveaux records attendus au début de la semaine, on y a décrété samedi la première alerte de « chaleur extrême » de son histoire, un nouveau niveau d’alerte introduit en 2021.
« En comprenant comment et pourquoi chacun de nous vit des choses différemment, nous pouvons aider à créer de l’empathie et construire de meilleures connexions entre nous ».
Il s’avère que la définition du mot « fermier » n’est pas aussi claire qu’on l’imagine. D’une part, certains insectes comme les fourmis pourraient se qualifier.
L’hésitation, rappellent des chercheurs, ne doit pas être confondue avec l’antivaccination: « La période d’hésitation et d’indécision est un moment de vulnérabilité, autant que d’opportunité. «
Chute de ponte, diarrhées, hémorragies et morts subites : les symptômes varient suivant les espèces. Des cas asymptomatiques sont aussi fréquents chez les canards.
Si la nourriture termine son parcours dans notre sang, les vaccins et les médicaments ne l’utilisent que comme transport.
Il est peu probable que le Canada ou les États-Unis puissent aider l’Europe à remplacer le pétrole et le gaz russe, du moins pas avec de futurs projets d’exploitation pétrolière.
Pour s’en sortir, on en revient à la génétique : créer une variété qui, par un quelconque détour, serait moins affectée que les autres par les inévitables températures plus élevées qui pointent à l’horizon.