Quelque 25 millions de dollars américains de ventes en cinq ans: c’est ce qu’un duo d’entrepreneurs du mouvement antivaccins a reconnu avoir décroché aux États-Unis entre 2014 et 2019. Et on peut parler d’une « industrie », puisque ces deux joueurs ne sont qu’une partie d’un plus vaste écosystème pour qui capitalisme rime avec désinformation.
Auteur/autrice : Agence Science-Presse
Les premiers scientifiques qui ont péniblement reconstitué les génomes d’humains ayant vécu il y a des milliers d’années, auraient eu de la difficulté à croire qu’à peine deux décennies plus tard, on en serait rendu à pouvoir étudier les gènes… des microbiomes de ces mêmes humains.
Substituer à notre portion de viande une ration de fromage réduit-il notre empreinte carbone? Pas forcément, constatent le Détecteur de rumeurs et Unpointcinq.
Chaque année, des dizaines de milliers de volontaires en France participent à la collecte de données: oiseaux, papillons, chauves-souris… Nombreuses sont les espèces à propos desquelles on doit en savoir plus sur l’impact de la pollution ou du réchauffement climatique. Pour les programmes de sciences participatives toutefois, il n’est pas toujours simple de composer entre les exigences de la science et les attentes du public.
L’idée d’un « passeport vaccinal » ou d’un « certificat de vaccination » crée de la controverse partout où elle est envisagée. Mais en certains endroits, des forces extérieures pourraient forcer la main: ainsi, une partie de l’industrie des croisières menace de cesser de faire escale en Floride, si cet État persiste à interdire aux entreprises de demander une preuve de vaccination.
Quelque chose « surchauffe » sous la chape de béton de l’ancienne centrale nucléaire de Tchernobyl. Un rappel comme quoi « le problème n’a pas été résolu, il a simplement été stabilisé ».
Le cercle est complet: des antimasques sont maintenant prêts à porter des masques sous le prétexte que les vaccinés pourraient leur transmettre une maladie dont ils niaient pourtant l’existence.
Le Népal demande aux alpinistes du Mont Everest de ramener avec eux leurs bouteilles d’oxygène, même vides, alors que ce pays voisin de l’Inde fait face à une nouvelle poussée de COVID-19.
Les boissons énergisantes transformeraient les jeunes en boules d’énergie incapables de se concentrer en classe, avancent certains parents et enseignants. Le Détecteur de rumeurs a vérifié.
Il avait deux ans et demi ou trois ans au moment de son décès. Sa courte vie s’était déroulée dans ce qui est aujourd’hui le Kenya. Et on a manifestement pris un certain soin pour l’enterrer, il y a 78 000 ans.