Si La femme de nulle part s’appuie sur de bons principes, et si la dernière partie est franchement réussie, avec d’excellents monologues, l’abondance de moments humoristiques gâche ainsi la sauce. Et c’est bien dommage.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
Comme son nom l’indique, le documentaire Beauty Between the Lines lève le voile sur cette beauté, mais aussi cette fragilité qui se cache entre deux dessins, entre deux colonnes de béton, de bois ou d’acier. Une force à la fois imposante et tranquille, pour un homme qui symbolisait à la fois l’ambition et le fait de voler trop près du soleil…
Oasis Mission: Colony Sim s’appuie sur des idées relativement intéressantes, mais l’exécution est catastrophique. Le jeu aurait clairement besoin de plus de temps de développement. Dans l’état actuel des choses, il est recommandé de fuir ce titre comme la peste.
Les soeurs Delphine et Muriel Coulin portent à l’écran ce drame sur la responsabilité parentale face à l’horreur et les dérives extrémistes.
Pour seulement 5$, Grid Ranger est un jeu tout à fait satisfaisant. Rapide, joli, efficace, avec une musique entraînante… et l’impression de se sauver du Master Control Program. Que demander de plus, bien honnêtement?
Attendu de pied ferme et réclamé depuis belle lurette, ce nouvel épisode de la célèbre série serait largement à la hauteur des attentes.
Sur les planches du Théâtre Denise-Pelletier, Orgueil et préjugés représente une bonne dose de fraîcheur. Une dose de joie et de plaisir qui éclaire une époque hélas particulièrement assombrie. Profitons donc de l’instant présent et, à défaut de régler les problèmes qui nous accablent, rêvons d’une certaine uchronie où des femmes aussi intelligentes que belles peuvent échapper aux carcans sociaux de l’époque victorienne, le temps d’une soirée.
Embarquez avec Marty et Doc Brown pour visiter le monde futuriste lointain de… l’année 2015.
« Imaginez un hôpital sans fournitures, des gens qui boivent de l’eau non traitée et des patients avec très peu d’argent à qui l’on demande encore de payer pour leurs soins. C’est un vrai désastre. »
Oeuvre bigarrée, oeuvre portée par des gens passionnés, mais aussi oeuvre qui semble parfois s’essouffler, Pleurs demeure une étape importante pour ces comédiens et comédiennes qui sont certainement appelés à fouler de nouveau les planches d’ici lors des prochaines années.