Bien entendu, quatre titres, c’est peu, mais c’est tout de même suffisant pour indiquer que Cynthia Veilleux en a dans le ventre. Une preuve irréfutable qu’elle fait partie de ces artistes à surveiller, celles qui font cavalier seul pour s’imposer comme référence de la chanson à texte.
Auteur/autrice : Hugo Prévost
« Plus que jamais, le journalisme nécessite un socle éthique solide et largement reconnu. Avec nos partenaires, nous appelons les journalistes, médias et rédactions du monde entier à s’approprier ces principes, à les proclamer, et à les décliner dans leurs pratiques. »
Film certainement efficace, film franchement bien tourné – avec une multitude d’inserts fort à propos –, The Killer est du David Fincher qui tourne comme David Fincher. Le résultat? Une oeuvre tout à fait intéressante qui s’inscrit dans une cinématographie aussi éclectique qu’intrigante.
Lupin est certainement de la télévision potable: on peut écouter les épisodes de cette nouvelle saison sans se poser aucune question, sans être surpris, ou encore sans être émotionnellement investi dans l’histoire. Mais dans cette même perspective, ce contenu est à l’image de ce que fournit trop souvent Netflix: du maïs soufflé sans vraie saveur, oubliable une fois la dernière bouchée avalée.
La directrice de CNEWA Canada dit fonder beaucoup d’espoirs « dans la diplomatie canadienne, que notre gouvernement intervienne et nous donne la possibilité d’aider, d’avoir un impact positif et palpable. Parce que nous attendons d’avoir la permission d’aider ».
Malgré une réussite visuelle, The Invincible est un jeu qui frustre à un point tel que l’on envisagera à plusieurs reprises de tout laisser tomber. On peut voir le potentiel particulièrement mal exploité, et cela ne fait qu’empirer les choses. Un jeu à oublier.
Empoignez votre tasse et votre agrafeuse, et préparez-vous à venir au bureau, ce weekend.
Superbe hommage à Edgar Allan Poe porté par une distribution sans faille, The Fall of the House of Usher est non seulement une oeuvre idéale pour se faire peur, mais aussi – et surtout – la preuve qu’il est encore tout à fait possible de disposer d’une liberté d’agir pour produire du contenu aussi original que passionnant.
Sympathique pendant quelques minutes, puis rapidement abrutissant et de moins en moins intéressant, Mercenaries of the Kingdom: First Blood est beaucoup trop ambitieux pour son propre bien. Il faudra certainement attendre une future version plus complète. Ou encore jouer à autre chose.
Les remugles donnent l’impression d’une oeuvre qui n’arrive pas à atteindre l’objectif qu’elle s’est elle-même fixé. Comme si, justement, les thèmes abordés échappaient in extremis aux phrases de l’autrice.