Le Festival Trans-Amérique bat son plein; jusqu’au 8 juin prochain, Montréal accueille des spectacles de danse et de théâtre d’ici et d’ailleurs. En ce moment à l’Espace Libre, on y présente Pôle Sud – documentaire scénique, une création d’Anaïs Barbeau-Lavalette et Émile Proulx-Cloutier.
Auteur/autrice : Emmanuelle Ceretti-Lafrance
L’ambiance était particulièrement festive à l’écomusée du fier monde vendredi dernier alors que La Mauvaise Réputation lançait officiellement sa boîte de production. Les vestons, cravates et robes n’étaient pas obligatoires, mais fortement conseillés. C’est donc sur mon 36 que je me suis rendue à cette soirée apéro sans alcool aux allures jazz.
Semaine de lecture dédiée à la découverte et à l’exploration scénique d’œuvres de la dramaturgie contemporaine étrangère, Territoire de paroles se déroulait récemment au Théâtre Prospero.
Toccate et fugue, c’est l’histoire d’un party qui ne lèvera jamais. C’est l’histoire de Caro, Daniel, Élise, Guillaume, Félix et d’une invitée à qui personne ne s’attendait et qui vient tout bousculer. C’est l’histoire d’une dérape qui montre ce qui peut arriver à l’humain lorsque l’instinct reprend ses droits.
Ian Kelly a habitué son public à des chansons à saveur acoustique, une mélodie de guitare sèche et une voix remplie d’émotion. Reprenez ces éléments, ajoutez-y des composantes électroniques remixées et vous avez le produit final qu’est Superfolk Remixes.
C’est dans la salle de répétition du théâtre Prospéro que Florent Siaud me reçoit pour une entrevue, juste avant la première médiatique de sa pièce. Il est pile à l’heure, mais s’excuse de son retard. Il faut dire qu’il doit être bien sollicité en ce moment. Je vous conseille de retenir son nom, car nous risquons d’en entendre énormément parler dans les prochaines années. Déjà bien connu en Europe et faisant sa marque dans le théâtre québécois depuis un moment déjà, Florent Siaud met en scène Don Juan revient de la guerre d’Odon Von Horvath présenté au Théâtre Prospéro jusqu’au 25 mars. Rencontre.
Odon Von Horvath n’est pas un auteur très monté au Québec. Cet auteur allemand d’après-guerre que l’on pourrait comparer à Büchner, Muller ou Brecht, ne semble pas trouver résonnance en Amérique. Pourtant, dans la salle du Théâtre Prospéro ce soir-là, tout le monde est à l’écoute.
Tout a commencé avec Un, Deux et Trois, une trilogie sur l’identité personnelle et collective. Puis, vinrent Ils étaient quatre et Cinq à sept, deux pièces qui parlent de rencontres, de vie d’adulte et d’amitié. Mani Soleymanlou présente donc la finale de ce cycle d’écriture, 8, jusqu’au 28 janvier à la Cinquième salle de la Place des arts.
Le silence. C’est ainsi que la pièce débute. Un dimanche silence, c’est ainsi qu’ils l’appellent. Ce dimanche-là n’est que le début d’une succession de jours où beaucoup de mots s’enchainent les uns après les autres. Mais pour dire quoi?
Terminus est une pièce de l’auteur irlandais Mark O’Rowe traduite par Olivier Choinière et mise en scène par Michel Monty. Elle est présentée jusqu’au 29 octobre au Théâtre de La Licorne. Préparez-vous, cher public, à un univers avec des airs de fin du monde. Un univers où chaque personnage passe une nuit difficile, une nuit endiablée.