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    Image tirée du film

    Good Luck to You, Leo Grande : l’amour, mais pas seulement

    0
    Par Hugo Prévost le 30 juin 2022 Cinéma / Télévision

    Dans une chambre d’un hôtel anonyme, une femme âgée d’une cinquantaine, voire d’une soixantaine d’années, attend son jeune amant. En fait, elle attend plutôt l’escorte pour laquelle elle a payé en écus sonnants et trébuchants. Que se passera-t-il ensuite? Eh bien, c’est ce que le film Good Luck to You, Leo Grande, nous montrera.

    Réalisé par Sophie Hyde et mettant en vedette la délicieuse Emma Thompson et Daryl McCormack, ce long-métrage, structuré à la manière d’un huis clos, commence comme une comédie pure et dure : Nancy Stokes (Thompson), veuve depuis deux ans et enseignante à la retraite, veut s’envoyer en l’air avec un jeune mâle.

    Mais on comprendra bien vite que le scénario va au-delà de l’idée d’une « initiation » – à rebours, peut-être, ou à l’envers, mais une initiation malgré tout – pour se concentrer sur la question du désir et de la place des femmes plus âgées dans notre imaginaire collectif s’articulant autour du sexe, du plaisir et de l’image de soi.

    En ce sens, Mme Hyde, en compagnie de Katy Brand au scénario, marchent sur une corde raide : Don Jon avait tenté, avec un certain succès, de se plonger dans cette question de relation intergénérationnelle, mais sans tomber dans les clichés. Mais dans ce film, il n’était pas question que l’un des deux partenaires vendent ses services.

    Ici, donc, le contexte est franchement particulier. Et c’est probablement sans surprise que l’on en viendra à connaître l’histoire tragique de la vie de ce Leo Grande, et de ce qui l’a poussé, peu à peu, vers ce métier particulier.

    Ultimement, est-ce « simplement » l’histoire de deux âmes en peine qui se retrouvent? Oui… mais surtout non. Car Good Luck to You, Leo Grande est davantage une réflexion sur les barrières que l’on peut s’imposer soi-même lorsqu’il est question de profiter de la vie. Après tout, nul besoin de se vêtir entièrement de cuir ou de dentelle, ou encore de pratiquer les positions généralement acrobatiques et trop souvent dégradantes de la pornographie pour « avoir du sexe ». D’ailleurs, qu’est-ce que cela veut dire, « avoir du sexe »? Faut-il absolument qu’il y ait pénétration? Faut-il s’entêter jusqu’à ce que tout le monde ait joui?

    En ce sens, ce film est un appel à la bienveillance. Appel qui, à certains moments, devient légèrement caricatural, mais le long-métrage n’a pas non plus la prétention de résoudre, une fois pour toutes, le débat à propos du plus vieux métier du monde.

    Quoi qu’il en soit, cela fait beaucoup de bien de voir un film sur le sexe, la tendresse et l’acceptation de soi mettant en vedette une femme plus vieille. Au diable les conventions et les clichés; acceptons-nous comme nous le sommes, la vie n’en sera que plus agréable.

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    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

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