Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • Abonnez-vous à l’infolettre
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Encouragez Pieuvre.ca sur Patreon
        • Nos abonnés
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FIL
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Biographie
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections québécoises 2022
        • Élections fédérales 2021
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
      • Océanie
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
      • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • Abonnement
    Pieuvre.ca
    Accueil»Culturel»Littérature»Roman / Nouvelles»Littérature – Quand l’encre et notre mémoire s’assèchent
    L'auteur Serge Labrosse propose ici son premier recueil de nouvelles.

    Littérature – Quand l’encre et notre mémoire s’assèchent

    0
    Par Hugo Prévost le 15 décembre 2021 Roman / Nouvelles

    La nouvelle est-elle une forme littéraire en voie de disparition? Pas du tout, semble vouloir dire l’auteur Serge Labrosse, qui propose, avec L’encre sèche et on oublie, une pléthore de courts, voire de très courts textes qui explorent efficacement l’amour, la mort, et toutes les émotions contenues entre ces deux extrêmes.

    En fait, qu’est-ce qu’une nouvelle, au juste? Comme pour le roman, les contours de cette catégorie, les normes qui définissent son existence, tout cela est un peu flou. Pour M. Labrosse, ancien journaliste au Journal de Montréal, généralement affecté aux faits divers – communément appelés les « chiens écrasés » –, ces nouvelles tiennent parfois de l’entrefilet. Ce qui, compte tenu de son passé de reporter, s’explique aisément: amorce, corps du texte, fin. Bien sûr, on ne nous offre pas, ici, les fameux « cinq W », les grandes composantes d’un article qui doivent impérativement se trouver en début de texte, mais c’est tout comme.

    Voilà donc des nouvelles diablement efficaces qui abordent en grande partie la question de la mort. Mais cette mort, plutôt que d’être banale, ou plutôt froidement rapportée, comme le font parfois les journalistes, est ici explorée avec plus de minutie, plus de respect, en quelque sorte. Difficile d’échapper à un métier et ses habitudes qui nous suivent pendant des années, mais M. Labrosse passe ici outre les contraintes de style pour se donner davantage de marge de manoeuvre. Et comme la nouvelle, au contraire de la nouvelle, repose généralement sur une surprise ou une chute en fin de texte, l’auteur semble être passé maître dans ce genre de choses, nous offrant à de multiples reprises des surprises dans les dernières lignes, voire les derniers mots de ses nombreux textes.

    Le risque était grand, pourtant, pour que le punch tombe à plat, ou que la nouvelle tombe à plat, faute de substance. Fort heureusement, l’auteur est parfaitement en contrôle de ses moyens, et parcourir son oeuvre procure un plaisir certain. Certes, on ne lira pas L’encre sèche et on oublie pour son côté « hop la vie », la plupart des textes racontant le quotidien des éclopés de l’existence, mais après tout, les gens heureux n’ont pas d’histoire…

    L’encre sèche et on oublie, de Serge Labrosse, publié chez Lévesque Éditeur, 96 pages.

    Abonnez-vous à notre infolettre tentaculaire

    Encouragez Pieuvre.ca pour seulement 5 $ par mois

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    26 septembre 2023

    Premier Assaut, un début de saga palpitant

    14 septembre 2023

    Les envolées sensuelles des Nuits magiques

    7 septembre 2023

    Filtre d’amour, une plongée réussie dans l’univers de la police

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • Twitter

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un contenu?
    Encouragez-nous
    Encouragez-nous sur Patreon
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Montréal complètement cirque
    • Élections de mi-mandat aux É.-U.
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • Des nouvelles de l’Oncle Sam
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    26 septembre 2023

    La richesse des groupes antivaccins

    26 septembre 2023

    Doom Guy, la vie et l’oeuvre de John Romero

    26 septembre 2023

    SVGA #21 – Star Wars Jedi Knight 2: Jedi Outcast

    26 septembre 2023

    Rembobinage #101: Bottoms

    26 septembre 2023

    Premier Assaut, un début de saga palpitant

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    © 2009-2023 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.