Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    0 Shopping Cart
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Boutique
    Pieuvre.ca
    Accueil»Culturel»Cinéma / Télévision»The Midnight Sky, la fin du monde de George Clooney
    Image tirée du film

    The Midnight Sky, la fin du monde de George Clooney

    0
    Par Hugo Prévost le 3 janvier 2021 Cinéma / Télévision

    Quoi de mieux, pour se mettre dans l’esprit du temps des fêtes, qu’un film racontant la quête d’un homme mourant sur fond d’apocalypse? La pique est facile, certes, mais The Midnight Sky, une adaptation du roman du même nom de Lily Brooks-Dalton réalisé et mettant en vedette George Clooney, est un objet cinématographique si étrange qu’il est permis de s’interroger sur les motivations de Netflix, qui diffuse le long-métrage. D’autant plus que l’oeuvre a effectivement été lancée à la fin décembre.

    Sur une Terre en pleine destruction, en raison d’une erreur scientifique qui n’est jamais expliquée, Clooney, qui interprète un passionné de la vie extraterrestre se mourant d’un cancer, devient en quelque sorte le dernier humain vivant à la surface de la planète. Coincé dans un observatoire installé dans le Grand Nord canadien, il finira par rencontrer Iris, une petite fille avec qui il finira par établir une brève relation.

    Pendant ce temps, dans l’espace, l’équipage d’un vaisseau d’exploration revient lentement d’une nouvelle lune de Jupiter où la vie est non seulement possible, mais où elle serait foisonnante et facile. Une sorte de deuxième maison pour des Terriens possiblement à bout de ressources.

    Le film a beau être doté d’un budget de 100 millions de dollars, et rassembler une distribution relativement solide, notamment avec Felicity Jones, en plus de M. Clooney, bien entendu, The Midnight Sky est si vide de sens qu’il ressemble à pratiquement tous les films du même genre. Un mélange de messianisme chrétien, avec le personnage de Mme Jones attendant un enfant, enfant qui est destiné à la Terre promise, en orbite autour de Jupiter, pendant que le vieux patriarche à la longue barbe blanche se meurt, avec de l’alarmisme environnemental remâché.

    Il ne faut pas oublier, non plus, les séquences prévisibles de danger à bord du vaisseau spatial. Il faut emprunter une nouvelle trajectoire? Il y aura forcément des astéroïdes, et l’un des personnages secondaires va mourir. Sans oublier le sacrifice d’autres coéquipiers en fin de film. Est-ce parce que le scénario n’a plus rien à leur offrir, ou parce que le nouvel Eden n’a de la place que pour de jeunes adultes?

    Pendant deux heures, on attend, on espère que le scénario reprendra vie, que le film gagnera en vigueur, qu’il se passera finalement quelque chose qui n’est pas excessivement prévisible ou particulièrement ennuyeux. En vain.

    Visuellement, pourtant, le film se tient. Et le jeu des acteurs est suffisant pour ne pas s’endormir, ou ne pas se lever pour aller faire autre chose. C’est tout le reste qui est si… beige. Et après une année quasi-entière à s’ennuyer chez soi, entre quatre murs dont on a depuis longtemps fini de se lasser de la couleur, un film beige n’était certainement pas nécessaire.

    Abonnez-vous à l’infolettre!


    La bonne étoile ensanglantée de Faits divers, pour une quatrième fois

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    7 août 2022

    Rembobinage #60 : Prey

    4 août 2022

    Fantasia – Cult Hero, ou l’art de faire la fête comme dans les années 1980

    2 août 2022

    Fantasia – Compulsus, entre poésie et violence vengeresse

    Hugo Prévost
    • Facebook
    • Twitter

    Cofondateur et rédacteur en chef de Pieuvre.ca, Hugo Prévost se passionne pour le journalisme depuis l'enfance. S'il s'intéresse surtout à la politique, à la science, à la technologie et à la culture, Hugo n'hésite pas non plus à plonger tête première dans les enjeux de société, l'économie ou encore les loisirs et le tourisme.

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Visitez notre boutique
    Vous cherchez un contenu?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Fantasia
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    8 août 2022

    La réalité augmentée, planche de salut pour les livres papier?

    7 août 2022

    Est-ce que l’accès aux vélos électriques peut favoriser le cyclisme?

    7 août 2022

    Cirque, impro et holographie, une combinaison gagnante pour le public montréalais

    7 août 2022

    Mode : comment éviter que nos vêtements retournés ne finissent aux poubelles?

    7 août 2022

    Fun Girl, la BD délicieusement iconoclaste

    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.