Pieuvre.ca
    Facebook Twitter Instagram
    Pieuvre.ca
    • Accueil
      • Notre équipe
      • La réplique
      • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
      • Votre semaine tentaculaire
      • Contactez-nous
      • Fil de presse fourni par Cision – Français
      • Newswire provided by Cision – English
    • Culturel
      • Arts visuels
      • Cinéma / Télévision
      • Danse
      • Littérature
        • Romans
        • Essais
        • Bandes dessinées
        • Beaux livres
        • Poésie
      • Musique
      • Théâtre / Cirque
      • Festivals
        • Cinémania
        • Fantasia
        • FIFA
        • FNC
        • FTA
        • OFFTA
        • Montréal complètement cirque
        • Mutek
        • RIDM
        • RVQC
        • Vues d’Afrique
        • Zoofest
    • Politique / Économie
      • Politique
      • Économie
      • Afrique
      • Amériques
        • Élections fédérales 2021
        • Maison-Blanche 2020
        • Élections fédérales 2019
      • Asie
      • Europe
        • Présidentielle française 2022
      • Moyen-Orient
    • Science
      • Science
      • Environnement
    • Société
      • Société
      • Médias
      • Santé
      • Vie tentaculaire
      • Jeux de société
      • 45 ans du Stade olympique
    • Techno / Jeux
      • Technologie
        • Séance de test
      • Jeux vidéo
        • Rétroctopode
        • Jeux préférés de…
    • Podcasts
      • Entretiens journalistiques
      • Rembobinage
      • SVGA
      • Pixels et préjugés
      • Heure supplémentaire
    • Dons
    Pieuvre.ca
    Accueil»Science»Y a-t-il une cinquième force de la nature?
    L'un des secrets de l'univers se cachait-il dans un atome d'hélium?

    Y a-t-il une cinquième force de la nature?

    0
    Par Agence Science-Presse le 25 novembre 2019 Science

    Quatre forces régissent notre Univers, et les physiciens spéculent depuis longtemps sur la possibilité qu’il en existe une cinquième. Mais alors que plusieurs la cherchaient à l’échelle cosmique, voilà qu’un groupe prétend l’avoir observée dans un atome d’hélium. 

    Les quatre forces en question sont la gravité, l’électromagnétisme, et les interactions nucléaires faible et forte. À elles quatre, elles expliquent presque tout ce qui s’attire ou se repousse dans l’Univers, des atomes jusqu’aux galaxies.

    Presque, mais pas tout. Parce que derrière ce « presque », il y a tout de même un gros morceau du casse-tête qui manque: cette mystérieuse « matière sombre » que jamais personne n’a observée, mais à qui les calculs attribuent le quart de la masse de l’Univers.

    Les chercheurs hongrois dirigés par le physicien Attila Krasznahorkay ne s’avancent pas aussi loin, mais ils ajoutent une pièce à leur propre casse-tête: en 2016, ils avaient publié les résultats d’années d’observations de la radioactivité émise par du beryllium-8, une version instable de cet élément. Ils y suggéraient que des anomalies dans la façon dont l’énergie se dissipait pouvaient être causées par une particule jusqu’ici inconnue. À présent, ils ont trouvé une anomalie similaire, dans la phase de ce qu’on appelle la « transition », cette fois dans le noyau d’atomes d’hélium, et ils affirment que la même particule inconnue serait en cause. Ils l’appellent X17 parce qu’elle aurait une masse de 17 mégaélectronvolts, ou 33 fois celle d’un électron.

    En deux mots, ce qu’ils ont observé, c’est une variation dans l’angle par lequel cette énergie est émise par le noyau, variation qui pourrait s’expliquer, disent-ils, par un « rebond » (bump) causé par cette particule inconnue. Qui plus est, le fait que l’angle ne soit pas exactement le même avec le béryllium et l’hélium concorderait avec le fait que la « transition » de l’hélium se fait à une énergie plus élevée.

    Tout ceci resterait toutefois une simple intuition sur l’existence d’une particule encore inconnue, si ce n’était d’un détail important: pour que cette X17 puisse faire ce qu’on lui attribue sans avoir été détectée jusqu’à maintenant, elle ne peut interagir qu’avec les neutrons, alors qu’aucune des quatre lois fondamentales de la nature ne le permet. La recherche de 2016 était parue dans la revue Physical Review Letters. Celle sur l’hélium n’est pour l’instant parue que sur le serveur de pré-publication ArXiv. Depuis 2016, d’autres équipes à travers le monde se sont d’ores et déjà lancées sur la piste de cette X17.


    Autres contenus:

    Le cancer contagieux (pour les moules)

    Partagez Facebook Twitter Pinterest LinkedIn Tumblr Courriel

    Articles similaires

    15 mai 2022

    Dans le trou noir des superlatifs

    10 mai 2022

    Imiter un insecte pour éloigner le prédateur

    8 mai 2022

    Un siècle de recherche scientifique en français

    Agence Science-Presse
    • Site web
    • Twitter

    Répondre Annuler la réponse

    Abonnez-vous à l’infolettre!
    Vous cherchez un article?
    Suivez-nous
    Dossiers spéciaux
    • Vues d’Afrique
    • Présidentielle française 2022
    • 45 ans du Stade olympique
    Nos podcasts
    • Entretiens journalistiques
    • Rembobinage
    • SVGA
    • Pixels et préjugés
    • Heure supplémentaire
    Récemment publié
    16 mai 2022

    L’axe Pékin-Moscou, l’entente qui inquiète l’Oncle Sam

    16 mai 2022

    La Terre a perdu 4000 kilomètres carrés de terres humides en seulement 20 ans

    15 mai 2022

    La chair de Julia, un superbe retour de Julie Vincent à Montréal

    15 mai 2022

    Une offre qu’il ne pouvait pas refuser

    15 mai 2022

    Le sel de la mer sur la terre

    Fil de presse fourni par Cision
    Newswire provided by Cision
    Informations
    • Votre semaine tentaculaire
    • Contribuez au succès de Pieuvre.ca
    • Notre équipe
    • Contactez-nous
    • Annoncez sur Pieuvre.ca / Advertise at Pieuvre.ca
    © 2009-2022 Hugo Prévost. Tous droits réservés.

    Tapez ci-dessus et appuyez sur Entrée pour rechercher. Appuyez sur Echap pour annuler.