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    Accueil»Culturel»Cinéma / Télévision»Toy Story 4, le confort des objets
    Image tirée du film

    Toy Story 4, le confort des objets

    1
    Par Jim Chartrand le 20 juin 2019 Cinéma / Télévision

    Avec un film inutile, mais de qualité, Disney persiste et signe dans sa mentalité de suites à laquelle Pixar a tenté pendant longtemps de résister. Un effort loin d’être nécessaire, surtout après une boucle admirablement bouclée, mais qui vaut son lot de bonnes idées pour un divertissement des plus louables en famille.

    Pas de reboot ou de live-action (jamais pour cette franchise, s’il-vous-plaît), mais bien une suite qui, à nouveau, délaisse le trop plein et préfère se concentrer sur certains éléments, plutôt que sur l’ensemble, histoire de mieux cerner la prémisse qui l’intéresse.

    Finding Dory l’a fait, Cars 2 et Incredibles 2 également et, tout en faisant vœu de continuité, Toy Story 4 a surtout envie de retourner aux sources et de s’intéresser « au contrôle de son propre destin », une idée singulièrement très moderne qui résonne à point pour ce Toy Story fait pour les nouvelles générations.

    La franchise s’étend quand même sur plus de deux décennies et développe son message du laisser-aller avec certainement plus de maîtrise que le déjà oublié The Secret Life of Pets 2, sorti il y a à peine quelques semaines.

    Il faut l’admettre, Toy Story 4, plus intéressant sur des bases théoriques que véritable divertissement qu’on a envie de revoir encore et encore, avec cette idée de ce que font les jouets quand nous ne sommes pas là subtilement mutée en projection parentale, n’est pas nécessairement le film d’animation qu’on a envie de se retaper régulièrement, n’en déplaise à sa qualité évidente et à son expertise singulière. Il n’en demeure pas moins que l’écoute est toujours agréable.

    D’abord parce que tout le talent réuni vaut son pesant d’or, que ce soit l’excellente distribution vocale (Tom Hanks et Tim Allen, quand même), l’ingéniosité des situations ou la qualité toujours en constante évolution de l’animation. On a beau avoir arrêté d’espérer y voir des humains au look acceptable, Pixar se surpasse constamment dans sa représentation des textures, ici avec le soin apporté à la poussière principalement.

    Ensuite, parce qu’on a beau avoir confié la réalisation entière à un nouveau venu qui n’avait qu’un court-métrage à son curriculum vitae, outre le scénario du remarquable Inside Out, celui-ci parvient merveilleusement à garder le cap sur ce gentil scénario que près de huit têtes ont aidés à mener à terme.

    Enfin, parce qu’on s’amuse beaucoup. Que ce soit visuellement ou avec des répliques lancées avec un excellent timing, les bons coups s’y comptent par milliers et on échappe rapidement aux références rapides, aux coups de pub ou au recours à la simple nostalgie d’usage (Wreck-It Ralph et sa suite devraient prendre des notes). L’absurdité qu’apportent Key and Peele est d’ailleurs savamment accueillie, tout comme la contribution essentielle de Tony Hale pour la valeur sûre qu’est Forky, n’en déplaise au running gag des poubelles qui s’étire un tantinet. N’oublions pas le délirant personnage canadien que nous livre Keanu Reeves, également.

    Il en va de même pour la tendresse habituelle, pas aussi larmoyante qu’annoncée, mais extrêmement nuancée qui permet de beaux revirements dont une « vilaine » plus complexe que ce que le volet précédent nous avait offert dans le même ordre d’idées.

    Toy Story 4 est donc une jolie production qui tout en ne voulant que surfer sur un succès qu’on fait durer (quête de gains, capitalisme, profits et compagnie oblige), demeure quand même une production satisfaisante qui fait le travail sans nécessairement surpasser les attentes.

    7/10

    Toy Story 4 prend l’affiche en salles ce vendredi 21 juin. 


    Men In Black : International  – Sans trop d’attachement

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    Jim Chartrand est bachelier de l'Université de Montréal en Études cinématographiques. Il gère également un département Superclub d'une succursale Vidéotron. Et il adore la culture avec le plus grand C que vous pouvez imaginer. En fait, s'il n'avait pas autant de fatigue de sa sage vie remplie, il consommerait encore davantage de ces nombreuses drogues de l'art et du divertissement pour mieux vous en parler. Puisque avouons-le, rien ne lui fait plus plaisir que de conseiller et guider les autres, même si ses avis ne font pas toujours l'unanimité. Il se fait donc un plaisir semaine après semaine de vous offrir des textes sur tous plein de sujets qui le passionnent entre un peu, beaucoup, passionnément, à la folie, et...

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